Styx SHA'YS
IDENTITÉ
RACE ▬ Mi-Sirène (mère), et mi-Salamandre (père). Son sang de salamandre ne se manifeste néanmoins que par le roux flamboyant de ses cheveux et par l'affinité de sa magie pour le feu. AGE ▬ 26 ans ORIENTATION SEXUELLE ▬ Bisexuelle SITUATION PERSONNELLE ▬ Célibataire, Styx ne veut pas s'encombrer d'une relation sérieuse NATIONALITÉ ▬ Akanthienne FACTION ▬ Cour des Cendres MÉTIER ▬ Barde à la Cour des Cendres | ||
MAGIE ET COMPÉTENCES
• MAGIE : Combustion aqueuse : un étrange pouvoir, né de ce métissage quasi contradictoire entre une sirène et un salamandre. Il permet à Styx de créer des flammes à partir d'une substance aqueuse, en sachant que plus sa contenance en H2O est importante, plus il lui est facile de créer des flammes. Ce pouvoir est évidemment limité spatiallement (Styx ne peut pas faire surgir des flammes à la surface de tout l'océan ou de tout un lac). De plus, il est important de préciser qu'il lui faut pour produire des flammes assez conséquentes un volume d'eau suffisamment important puisque les flammes semblent « s'alimenter » de cette dernière ; aussi, Styx ne pourra donc produire un brasier à partir d'un verre d'eau, même avec la puissance ou le mana requis, car son volume est trop faible pour maintenir la flamme. • Charme de sirène : Trait racial hérité de sa mère, il est paradoxalement très puissant chez Styx. En effet, la jeune femme produit une aura charismatique puissante, qui attire naturellement les autres individus et qui se retrouvent captivés sans pour autant réellement en comprendre la cause. Styx a conscience de ce charme plus développé que la moyenne, elle le "ressent" et sait quand il est plus ou moins actif. Sans pour autant savoir l'activer ou de le désactiver précisément, la jeune sirène sait comment le diminuer ou, au contraire, l'accentuer, même si ce dernier cas requiert beaucoup de concentration et puise parfois dans son mana. • Maniement du poignard : Styx a été personnellement entraînée par son père -assassin pour la Cour- au maniement du poignard ou de la dague. En effet, c'est après de longues années d’entraînements (qui ont cessé avec la mort de ce dernier) que Styx a appris à maîtriser cette arme comme personne. Bien décidée à ne pas perdre en niveau avec le temps, elle s'entraîne d'ailleurs encore et aiguise très régulièrement ses lames. La jeune femme possède toute une collection de dagues et autres couteaux qu'elle garde soigneusement caché chez elle, mis-à-part celui qui a appartenu à son défunt père et qui est devenu son arme de prédilection, qu'elle porte constamment et en toute circonstance sur elle (même sous son oreiller durant son sommeil). Ce poignard a d'ailleurs un nom, octroyé par son précédent propriétaire : « Rubis sanglant », à cause du petit rubis qui en orne le manche. |
PHYSIQUE
Styx est un petit bout de femme d'à peine 1m59 pour un peu plus d'une cinquantaine de kilos. Petit gabarit, très chétive même, Styx n'en perd pas moins de charme, et ce, malgré ses courbes féminines assez peu développées. Sa peau est en effet aussi claire que de la porcelaine, malgré ses longues années passées à Akantha, lui donnant un teint semblable à celui d'une poupée. Sous sa forme de sirène, elle arbore une queue aux écailles vert émeraude et cache sa poitrine avec des coquillages, comme on le faisait dans son village natal.
Son visage, plutôt rond, possède des traits fins et très doux ; un petit nez légèrement retroussé, de fines lèvres naturellement rosées ainsi que des petites pommettes rougissant facilement. Le tout, agrémenté par de grands yeux d'un bleu clair et lumineux, encadrés par de fins et longs cils.
Mais ce qui détonne réellement chez Styx et retient l'attention, c'est son imposante chevelure, à la longueur et à l'épaisseur importante, mais surtout, à sa teinte naturelle d'un roux flamboyant, tirant sur le rouge. Cette dernière, bien que complexe à entretenir, accorde à sa propriétaire un charme quelque peu exotique pour une sirène. Rare fruit de son ascendance salamandre, elle produit d'ailleurs parfois de toutes petites étincelles lorsque la jeune femme s'énerve fortement.
Enfin, au niveau vestimentaire, Styx sait se mettre en valeur dans le cadre de sa profession, puisque sa voix et sa rhétorique ne peuvent être réellement efficaces que si la jeune femme a physiquement de la prestance et du charisme. Mais elle y préfère largement des vêtements sobres, confortables et amples, qui lui permettent une grande aisance de mouvement, mais surtout, un meilleur et plus facile camouflage de son poignard...
Son visage, plutôt rond, possède des traits fins et très doux ; un petit nez légèrement retroussé, de fines lèvres naturellement rosées ainsi que des petites pommettes rougissant facilement. Le tout, agrémenté par de grands yeux d'un bleu clair et lumineux, encadrés par de fins et longs cils.
Mais ce qui détonne réellement chez Styx et retient l'attention, c'est son imposante chevelure, à la longueur et à l'épaisseur importante, mais surtout, à sa teinte naturelle d'un roux flamboyant, tirant sur le rouge. Cette dernière, bien que complexe à entretenir, accorde à sa propriétaire un charme quelque peu exotique pour une sirène. Rare fruit de son ascendance salamandre, elle produit d'ailleurs parfois de toutes petites étincelles lorsque la jeune femme s'énerve fortement.
Enfin, au niveau vestimentaire, Styx sait se mettre en valeur dans le cadre de sa profession, puisque sa voix et sa rhétorique ne peuvent être réellement efficaces que si la jeune femme a physiquement de la prestance et du charisme. Mais elle y préfère largement des vêtements sobres, confortables et amples, qui lui permettent une grande aisance de mouvement, mais surtout, un meilleur et plus facile camouflage de son poignard...
CARACTERE
Vive jeune barde, Styx n'a plus à prouver l'étendu de sa culture et de ses savoirs, enseignés pendant des années par sa perceptrice all'ombra. Rompue à la musique comme à l'art oratoire, Styx s'exprime avec beaucoup d'aisance et de grâce, qualité nécessaire à sa fonction au sein de la Cour. Mais cette éloquence peut s'avérer une arme aussi redoutable que son poignard, et la jeune sirène sait en user en complément de son charme racial afin de manipuler aisément, quand c'est nécessaire. Seul obstacle à ses dons pour la manipulation : son manque parfois de sang-froid, puisque la jeune femme, émotive et surtout, impulsive, a bien du mal à parfois cacher ses émotions, qui explosent toujours vivement en elle.
Enjouée et extravertie Styx paraît d'ailleurs souvent a priori stupide, et sa petite carrure participe à facilement la sous-estimer. On la pense volontairement juvénile, naïve et quelque peu candide, mais il n'en est rien ; fruit de l'éducation et des valeurs inculquées par son père, la sirène a appris à toujours se méfier et ne faire confiance en personne. Très secrète sur sa vie privée ou sur son passé, la jeune sirène fait tout pour soigneusement éviter le sujet ou falsifie quelque peu certains détails de sa vie, quand elle ne ment pas ouvertement. Pas un mot sur le fait qu'elle soit née à Nueva et encore moins sur la profession de son défunt père ou encore son drôle de hobby pour le maniement d'arme blanche...
Ainsi, de part cette méfiance constante, Styx est final une femme plutôt solitaire, ne s'encombrant guère « d'amis » (ou du moins, en façade), de confident quelconque ou pire, d'un éventuel compagnon ! Le clan Sha'Ys, issu de la petite noblesse Akanthienne, cherche en effet régulièrement à placer par un mariage ce pion sur l'échiquier politique afin de sceller de nouvelles alliances pour renforcer leur pouvoir... Mais Styx, indépendante, ne souhaite pas servir d'outil à cette famille qui a toujours rejeté son père et trouve ainsi le moyen de faire échouer par la ruse ces tentatives de mariage.
Mais ce qui caractérise par dessus tout la sang-mêlé, c'est son ambition ; en effet, avide de reconnaissance, Styx souhaite se hisser toujours plus haut au sein de la Cour, alors qu'elle n'est que Barde depuis quelques mois et qu'elle n'a encore que eu l'occasion de travailler pour la petite noblesse. Car ce que Styx souhaite, vise, c'est, comme son père, servir la famille Royale en personne. Mais contrairement à ce dernier, la servir dans la lumière et la gloire, par des armes qui lui sont propres : la culture et l'éloquence. Et pour y parvenir, la jeune femme sera prête à tout. Elle voit la vie comme une sorte de challenge, jeu, et par conséquent, ne s'imposera jamais de limite pour atteindre ses objectifs.
Enjouée et extravertie Styx paraît d'ailleurs souvent a priori stupide, et sa petite carrure participe à facilement la sous-estimer. On la pense volontairement juvénile, naïve et quelque peu candide, mais il n'en est rien ; fruit de l'éducation et des valeurs inculquées par son père, la sirène a appris à toujours se méfier et ne faire confiance en personne. Très secrète sur sa vie privée ou sur son passé, la jeune sirène fait tout pour soigneusement éviter le sujet ou falsifie quelque peu certains détails de sa vie, quand elle ne ment pas ouvertement. Pas un mot sur le fait qu'elle soit née à Nueva et encore moins sur la profession de son défunt père ou encore son drôle de hobby pour le maniement d'arme blanche...
Ainsi, de part cette méfiance constante, Styx est final une femme plutôt solitaire, ne s'encombrant guère « d'amis » (ou du moins, en façade), de confident quelconque ou pire, d'un éventuel compagnon ! Le clan Sha'Ys, issu de la petite noblesse Akanthienne, cherche en effet régulièrement à placer par un mariage ce pion sur l'échiquier politique afin de sceller de nouvelles alliances pour renforcer leur pouvoir... Mais Styx, indépendante, ne souhaite pas servir d'outil à cette famille qui a toujours rejeté son père et trouve ainsi le moyen de faire échouer par la ruse ces tentatives de mariage.
Mais ce qui caractérise par dessus tout la sang-mêlé, c'est son ambition ; en effet, avide de reconnaissance, Styx souhaite se hisser toujours plus haut au sein de la Cour, alors qu'elle n'est que Barde depuis quelques mois et qu'elle n'a encore que eu l'occasion de travailler pour la petite noblesse. Car ce que Styx souhaite, vise, c'est, comme son père, servir la famille Royale en personne. Mais contrairement à ce dernier, la servir dans la lumière et la gloire, par des armes qui lui sont propres : la culture et l'éloquence. Et pour y parvenir, la jeune femme sera prête à tout. Elle voit la vie comme une sorte de challenge, jeu, et par conséquent, ne s'imposera jamais de limite pour atteindre ses objectifs.
HISTOIRE
Haec igitur prima lex amicitiae sanciatur, ut ab amicis honesta petamus, amicorum causa honesta faciamus, ne exspectemus quidem, dum rogemur; studium semper adsit, cunctatio absit; consilium vero dare audeamus libere. Plurimum in amicitia amicorum bene suadentium valeat auctoritas, eaque et adhibeatur ad monendum non modo aperte sed etiam acriter, si res postulabit, et adhibitae pareatur. Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata. Itaque verae amicitiae difficillime reperiuntur in iis qui in honoribus reque publica versantur; ubi enim istum invenias qui honorem amici anteponat suo? Quid? Haec ut omittam, quam graves, quam difficiles plerisque videntur calamitatum societates! Ad quas non est facile inventu qui descendant. Quamquam Ennius recte. Ex his quidam aeternitati se commendari posse per statuas aestimantes eas ardenter adfectant quasi plus praemii de figmentis aereis sensu carentibus adepturi, quam ex conscientia honeste recteque factorum, easque auro curant inbracteari, quod Acilio Glabrioni delatum est primo, cum consiliis armisque regem superasset Antiochum. quam autem sit pulchrum exigua haec spernentem et minima ad ascensus verae gloriae tendere longos et arduos, ut memorat vates Ascraeus, Censorius Cato monstravit. qui interrogatus quam ob rem inter multos... statuam non haberet malo inquit ambigere bonos quam ob rem id non meruerim, quam quod est gravius cur inpetraverim mussitare.
Haec igitur prima lex amicitiae sanciatur, ut ab amicis honesta petamus, amicorum causa honesta faciamus, ne exspectemus quidem, dum rogemur; studium semper adsit, cunctatio absit; consilium vero dare audeamus libere. Plurimum in amicitia amicorum bene suadentium valeat auctoritas, eaque et adhibeatur ad monendum non modo aperte sed etiam acriter, si res postulabit, et adhibitae pareatur. Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata. Itaque verae amicitiae difficillime reperiuntur in iis qui in honoribus reque publica versantur; ubi enim istum invenias qui honorem amici anteponat suo? Quid? Haec ut omittam, quam graves, quam difficiles plerisque videntur calamitatum societates! Ad quas non est facile inventu qui descendant. Quamquam Ennius recte. Ex his quidam aeternitati se commendari posse per statuas aestimantes eas ardenter adfectant quasi plus praemii de figmentis aereis sensu carentibus adepturi, quam ex conscientia honeste recteque factorum, easque auro curant inbracteari, quod Acilio Glabrioni delatum est primo, cum consiliis armisque regem superasset Antiochum. quam autem sit pulchrum exigua haec spernentem et minima ad ascensus verae gloriae tendere longos et arduos, ut memorat vates Ascraeus, Censorius Cato monstravit. qui interrogatus quam ob rem inter multos... statuam non haberet malo inquit ambigere bonos quam ob rem id non meruerim, quam quod est gravius cur inpetraverim mussitare.
Haec igitur prima lex amicitiae sanciatur, ut ab amicis honesta petamus, amicorum causa honesta faciamus, ne exspectemus quidem, dum rogemur; studium semper adsit, cunctatio absit; consilium vero dare audeamus libere. Plurimum in amicitia amicorum bene suadentium valeat auctoritas, eaque et adhibeatur ad monendum non modo aperte sed etiam acriter, si res postulabit, et adhibitae pareatur. Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata. Itaque verae amicitiae difficillime reperiuntur in iis qui in honoribus reque publica versantur; ubi enim istum invenias qui honorem amici anteponat suo? Quid? Haec ut omittam, quam graves, quam difficiles plerisque videntur calamitatum societates! Ad quas non est facile inventu qui descendant. Quamquam Ennius recte. Ex his quidam aeternitati se commendari posse per statuas aestimantes eas ardenter adfectant quasi plus praemii de figmentis aereis sensu carentibus adepturi, quam ex conscientia honeste recteque factorum, easque auro curant inbracteari, quod Acilio Glabrioni delatum est primo, cum consiliis armisque regem superasset Antiochum. quam autem sit pulchrum exigua haec spernentem et minima ad ascensus verae gloriae tendere longos et arduos, ut memorat vates Ascraeus, Censorius Cato monstravit. qui interrogatus quam ob rem inter multos... statuam non haberet malo inquit ambigere bonos quam ob rem id non meruerim, quam quod est gravius cur inpetraverim mussitare.
DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Ophidine ou CookieKraps huhu (Ophidine#8267 sur discord) AGE ▬ 17 ans, sur ma 18ème année (WI C'EST IMPORTANT DE PRECISER.) TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬ Top-site, je cherchais désespérément un fofow inspirant pour me remettre à RP après plus de 2 ans UN AUTRE COMPTE ▬ Nope :C Peut-être un jour, votre contexte est tellement koul LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬ La petite sirène ▬ Ariel TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Oui ! edit: Cette question sent le code caché mais perso je viens de relire pour la 3ème fois et je trouve rien |