Past Souvenirs qui hantent, un frisson incontrôlé qui parcours le corps. Les émotions liées à cet instant le rendent marquant pour le reste de nos jours. |
Ce spectacle te rend nostalgique. Ces terres vides et poussiéreuses ont remplacées ce qui était autrefois un lieu plein de vie et de rire, d'enfants et d'adultes, d'innocents et de coupables. Des races mélangées dans un même lieu et qui menaient une vie simple dans ce pays désormais désolé. Ce devait être la première fois depuis la catastrophe que tu remettais les pattes ici et tes yeux dorés ne font que parcourir les restes de cette ancienne civilisation. Tu imagines aisément les gens en train de fuir tandis que leur cris de peur et de désespoir s'unissent en une seule voix, tu les vois, courant le plus rapidement qu'ils peuvent alors que l'air devient vicié, que les éclats de cristaux remplissent leurs poumons avant de les rendre fous ou de les tuer simplement. Voir les deux.
Tu avances Nael, doucement, laissant tes empreintes sur le sol sableux. Une trace de vie rare que tu déposes seulement, tu n'y fais pas attention. Personne à l'horizon, juste des marques d'un ancien passé. Malgré ce qui a été fait ici, tu sais qu'il y a toujours des humains cupides qui viennent pour les cristaux.
Encore et toujours les cristaux.
Ton expression devient renfermée. Ça te révolte Nael, de constater l'ampleur des dégâts. Ça te serre le cœur d'observer cet endroit détruit. Ça te fait trembler de découvrir à quel point ça a changé. Quatre siècles depuis cette chaîne d'explosions, d'ignorance totale. Et malgré l'histoire, les humains répètent encore la même erreur en faisant semblant de ne pas être au courant de ce qu'il s'est passé. Ils continuent de vivre égoïstement en n'ayant en tête que l'idée du pouvoir.
Que dirait les Dieux s'ils voyaient ce que leur création est devenue...
Tu n'es pas une croyante Nael, mais tu es persuadée que les anciens Dieux ont réellement vécus. Qu'ils ont unis leurs éléments pour former les premiers humains et que maintenant ils les ont laissés dans leurs vices alors que d'autres fausses divinités ont pris leur place. Ça aussi, ça te rend malade Nael. Le désespoir des uns profite à d'autres. Et c'est exactement ce qu'il s'est passé à Mearian. Stupides humains, naïf et égoïste jusqu'au bout. Tu secoues la tête et d'un coup, tu tends l'oreille. Tu sors de tes pensées et de tes souvenirs pour écouter. Quelqu'un approchait. Soufflant dans ta mèche de cheveux rougeoyante, tu te tournes vers le bruit, prête à te défendre si besoin.
Tu ne sens pas d'hostilité à ton égard mais tu restes sur tes gardes, fixant le nouveau venu avec méfiance.
... Qui es-tu ?
Tu n'es pas connue pour être polie envers les étrangers, surtout dans un lieu où pilleurs et voleurs sont rois.
Tu avances Nael, doucement, laissant tes empreintes sur le sol sableux. Une trace de vie rare que tu déposes seulement, tu n'y fais pas attention. Personne à l'horizon, juste des marques d'un ancien passé. Malgré ce qui a été fait ici, tu sais qu'il y a toujours des humains cupides qui viennent pour les cristaux.
Encore et toujours les cristaux.
Ton expression devient renfermée. Ça te révolte Nael, de constater l'ampleur des dégâts. Ça te serre le cœur d'observer cet endroit détruit. Ça te fait trembler de découvrir à quel point ça a changé. Quatre siècles depuis cette chaîne d'explosions, d'ignorance totale. Et malgré l'histoire, les humains répètent encore la même erreur en faisant semblant de ne pas être au courant de ce qu'il s'est passé. Ils continuent de vivre égoïstement en n'ayant en tête que l'idée du pouvoir.
Que dirait les Dieux s'ils voyaient ce que leur création est devenue...
Tu n'es pas une croyante Nael, mais tu es persuadée que les anciens Dieux ont réellement vécus. Qu'ils ont unis leurs éléments pour former les premiers humains et que maintenant ils les ont laissés dans leurs vices alors que d'autres fausses divinités ont pris leur place. Ça aussi, ça te rend malade Nael. Le désespoir des uns profite à d'autres. Et c'est exactement ce qu'il s'est passé à Mearian. Stupides humains, naïf et égoïste jusqu'au bout. Tu secoues la tête et d'un coup, tu tends l'oreille. Tu sors de tes pensées et de tes souvenirs pour écouter. Quelqu'un approchait. Soufflant dans ta mèche de cheveux rougeoyante, tu te tournes vers le bruit, prête à te défendre si besoin.
Tu ne sens pas d'hostilité à ton égard mais tu restes sur tes gardes, fixant le nouveau venu avec méfiance.
... Qui es-tu ?
Tu n'es pas connue pour être polie envers les étrangers, surtout dans un lieu où pilleurs et voleurs sont rois.