Everlid Lucasta Calista
Barde/Aèdes à la Citadelle des Arts (Cour des Cendres)Identité
- Race : Ange/Sirène
- Âge : 36 ans
- Orientation sexuelle : Pansexuelle/Libertine
- Situation personnelle : Officieusement en couple
- Nationalité : Akantha
Points de caractéristiques
- Physique :
- Agilité :
- Force :
- Endurance :
- (Techno)magie :
- Mana :
- Puissance :
- Contrôle :
Compétences [3/3 slots]
Hydrotheos : Une eau divine qu'elle peut générer grâce à son métissage Ange et Sirène. L'eau que Calista génère peut à la fois soigner des alliés et blesser ses ennemies. Pour utiliser cette magie correctement, il faut savoir doser le taux des deux éléments dans cette eau. Un surplus d'eau lui donnera des vertus curatives qui possède une chaleur réconfortante, alors qu'un surplus de lumière lui donnera des propriétés néfastes et donnera l'impression non pas de mouiller, mais de brûler. Contrairement aux croyances, ce que Calista gère réellement est le taux de lumière, au vu de sa race principale. Enfin, les eaux créer par cette compétence sont pures, sans aucune impuretés.
Des rumeurs disent que sa magie est une bénédiction des Seraphs, d'autres disent que c'est Aquaros lui même qui à offert à la barde son pouvoir.
Nom de la compétence : Descendante de Gabriel, l'ange de l'Eau
Descendant d'une mère ange et d'un père triton, Calista possède avant tout les attributs physiques de tout ange. Deux splendides paires d'ailes d'anges, une au niveau de sa tête, qui sont souvent d'ailleurs confondues avec un voile qu'elle porte habituellement quand elle fait disparaître ses ailes, et une autre dans le bas de son dos, qui elles peuvent être prises pour sa robe quand elle les fait apparaître. Ces deux paires d'ailes lui permettent bien évidemment de voler au gré de l'azure céleste.
Son sang de sirène lui octroie bien évidemment la possibilité de se mouvoir dans l'eau et d'y respirer. Mais ce n'est pas avec une queue qu'elle peut se mouvoir dans l'azur aqueux. Elle enroule ses jambes avec ses ailes, qui lui donne un semblant de queue de sirène, et aidé des ailes sur sa tête, elle arrive à se mouvoir avec aisance dans l'eau… Enfin, bien moins qu'une sirène, mais c'est tout de même respectable. Mais comment direz-vous ? C'est très simple, les plumes de ses ailes, dues à son héritage de sirène, possèdent un revêtement légèrement différent des anges pures, qui empêche les plumes de l'ange de se gorger d'eau et dans de l’alourdir, lui permettant donc d'utiliser ses ailes de cette manière non-orthodoxe pour l'aider à sa nage.
Nom de la compétence : Artiste jusqu'au sang
Elle possède une voix qui envoûte tous ceux qui l'écoutent, une beauté qui enchante tous ceux qui posent leurs regards sur sa personne, et un talent indéniable en tant que barde de la Cour des Cendres : chant, danse, récital, arts plastiques… Elle possède un don innée dû à ses origines qui lui permet de charmer les gens rien que par sa présence, mais aussi par ses différentes prestations des arts. Est-ce sa beauté d'ange qui joue, ou bien le charisme naturel des sirènes qui est à l'œuvre ici ? Peut-être un savant mélange des deux, qui lui donne cette aura si particulière.
Le charme a pour effet de captiver son audience sur sa personne. Comme une lumière dans l'obscurité, les sens de ceux qui l'écoutent ou la regarde sont comme happé par sa présence et semble apprécier ce qu'elle fait. Au milieu d'une foule, le charme agit environs jusqu'à cinq mètres, mais si Calista arrive à se mettre en évidence (Monter sur scène, être isolée…), la portée de son charme augmente jusqu'à 15 mètres.
L'eau sacrée d'Aquaros :
La branche curative de la magie de Calista. L'eau qu'elle crée par celle-ci est plus concentré par l'élément d'Aquaros que par la lumière des Seraphs, lui donnant donc des propriétés curatives. L'eau, quand elle atteint une blessure, s'évapore et rétablit celle-ci. Quand elle est bue par une personne malade, elle purge les maladies de la personne (sauf contrôle mentaux) Quand l'eau est intégrée directement dans le sang d'une personne, il purge tout poison en son sein selon leurs puissances (du coup le même système que les blessures). Enfin, quand elle est utilisée sur une personne possédant les gênes de sirènes, le taux de rétablissement est supérieur qu'à celles des autres races qui sont touchés par cette eau. Les salamandres, cependant ressentent moins les effets de l'eau, étant des élémentaires opposés à cet élément.
Voici les temps de soins des blessures/états de santé selon la gravité :
Superficielle : 1 Tour
Légère : 2 Tours
Moyenne : 4 Tours (+1 pour les salamandres, -1 pour les sirènes)
Grave : 6 Tours (+1 pour les salamandres, -1 pour les sirènes)
Cette eau possède en plus des vertus de revigoration. Elle rend “jeune”. Pas dans le sens de la vie éternelle, mais plus de la jeunesse éternelle. Une personne qui suit un traitement avec cette eau sera vue comme jeune et dynamique… Mais mourra quand même de vieillesse quand il doit mourir de vieillesse. Calista utilise bien entendu cette propriété pour toujours paraître jeune et belle, bien que pour le moment, elle est loin de l'âge où les rides commencent à apparaître
Physique
Avide de savoir si, oui ou non, elle s'est rendue plus belle dans sa retranscription de sa personne, vous admirez le tableau avec beaucoup d'attention.
Cette peinture, représentant Calista dans ce qui semble être une scène de spectacle en train de chanter et danser, donne l'impression de bouger selon l'angle de vue qu'on utilise pour l'admirer, comme si le récital qu'elle donnait se passait réellement sous nos yeux, et qu'on ne pouvait être qu'éblouis par la beauté de ses gestes, mais aussi de sa personne, alors que l'eau qu'elle semble contrôler à sa guise danse aux moindres mouvements de ces doigts. L’œuvre dans sa globalité donne à la jeune femme une silhouette assez fine et élancée, et elle semble d'être d'une taille au-dessus de la moyenne féminine, mais ce n'est peut-être qu'un ressenti à cause de la taille de la peinture. Mais le plus intéressant ici sont les détails attribués sur la femme qui est clairement la pièce maîtresse de l’œuvre.
La danseuse, seule sur la scène qui semble être son terrain de jeu, fait virevolter sa longue et lisse chevelure d'un splendide bleu céleste qui pourtant varie, selon les luminosités et la présence ou non de l'eau devant celle-ci, d'une teinte changeant entre l'aigue-marine et un bleu azur, comme si cet enchaînement de couleur montrait rien que dans par soyeuse chevelure les origines de la danseuse… Une fille aussi légère que l'air, et aussi douce que les faibles vagues de l'océan. L'eau et le ciel, ayant créé ensemble une femme d'une beauté envoûtante. Oui, vous qui la connaissez, savez qu'elle est la fille d'une ange et d'un triton. Ce ne sont pas les seules preuves présentes dans cette œuvre bouleversante. Tout comme le montre ce voile blanc qui repose sur sa tête, flottant avec elle dans ses mouvements qui semble glisser dans l'air comme si celui-ci n'existait pas.
En effet, sa tenue elle-même montre ses origines et sa fonction dans ce pays qu'est Akantha. D'un blanc immaculé tout comme les ailes d'un ange que l'on représente souvent ainsi dans les différentes œuvres d'art, cette teinte est sans aucun doute celle qui domine son apparat, montrant sa race principale aux restes du monde. Cependant, la couleur des lacs n'est pas en reste. En effet, moult rubans bleus ornent la tenue de la jeune noble, qui se marie agréablement bien avec le blanc général de sa tenue de danseuse, très légère et très élégante. Enfin, l'or présent sur ses accessoires, intégrés eux aussi dans sa tenue est, bien que légèrement représentée, visible, tapant à l'œil et indiquant sans l'ombre d'un doute le lieu où se passe ce spectacle. L'ardente et passionnée Akantha. D'un coup d'œil, une personne qui connaît suffisamment la culture Akanthienne peut déterminer que cette femme est une barde dans la Cour des Cendres.
Votre regard se perd ensuite sur un détail… Et vous vous rendez compte qu'une erreur que vous avez faite en admirant la tenue de l'artiste. Tout ce blanc n'est pas au fait uniquement sa tenue ni son voile… Mais les ailes de la fille aux yeux d'or qui participe aux mouvements de la peinture. Vous avez un petit doute quant à la couleur des ailes de la jeune femme, présente au-dessus de ses oreilles et qui forme une partie du voile, ainsi que celle qui orne le bas de son dos ayant la forme d'une robe autour d'une tenue qui vous semble d'un coup bien plus légère et érotique que vous ne le pensiez aux premiers abords. Est-ce la couleur globale de l'ouvre qui donne cette impression dans une illusion d'optique, ou bien ces ailes semblent d'un bleu très léger, mais suffisamment présent pour montrer que celles-ci ne sont pas blanches ? Vous connaissez la réponse bien évidemment, avec tous les indices que la peintre s'est amusée à placer dans son œuvre, qui représente sa personne.
Sa peau, d'un beige pur et sans marque aucune, se mélange si bien avec sa tenue qu'il est difficile de différencier, avec le jeu des couleurs, le bas de sa tenue avec les jambes gracieuses de la barde. Avec ses ongles colorés d'un bleu électrique, ceux-ci ajoutent, dans cette danse qui semble être faite pour reposer les esprits, une pointe de vivacité qui frappe le regard, et met le doute sur la signification de la danse. Son expression pourtant, et sa position, qui semble tendre la main vers le ciel, comme pour appeler des entités supérieures dans une prière mouvementée, ne met aucun doute sur ce qu'elle est en train de représenter… Si ce n'est, qui appelle t'elle ? La lumière qui descendant sur son visage, l'illuminant et exposant au monde sa beauté pourrait venir des vingt et un, qui semble lui prendre la main qu'elle tend… Pourtant, l'eau environnante, qui semble étreindre la jeune femme, pourrait être un signe qu'Aquaros protège la jeune femme et semble suivre les gestes que cette dernière dans sa danse, lui offrant ainsi sa bénédiction.
Cette peinture, est-elle un hommage à Aquaros, ou bien une révérence aux Séraphs ? Vous ne le savez pas, mais une chose elle est certaine. Cette peinture n'est nullement un embellissement de Calista. Pour avoir posé vos yeux sur la femme, vous savez que sa beauté, les thèmes, les gestes, la position, tout ce qui représente cette toile semble être une image qui a été prise dans sa vie quotidienne, et placé sur ce tableau. Ce dernier montre avec un juste égard toute la beauté de la barde, et bien qu'une mauvaise langue pourrait dire que c'est de l'arrogance de la part de l'artiste pour se montrer ainsi, vous savez que ce n'est juste que la simple vérité. Elle est une femme, dit-on, bénit d'Aquaros et des Séraphs, et c'est peut-être vrai. Après tout, les origines de celle-ci n'en sont-elles pas la preuve ?
Caractère
Dotée d'une éloquence innée
Qui lors de tes splendides et magistrales arias,
Subjugua mon être charmé.
L'âme qui t'habite toujours insatisfaite,
Recherche sans fin moult délicatesses,
Que les êtres appellent la culture et les arts,
Pour que ton regard sur le monde soit ouvert.
Ô ambitieuse sirène au duvet,
D'une bienveillance angélique,
Qui possède un cœur coquet,
Ton être est un aphrodisiaque.
Mes désirs sont sans égaux,
Comme toi envers Anciens et Nouveaux,
Qui possède une ardente foi.
Ma personne se languit de toi.
Ah, quelle merveilleuse créature que tu es, Calista.
Nombres d'hommes et de femmes que tu as goûtées,
Tous aveuglés par tes astronomiques dépenses.
Sensible et émotive enchanteresse,
Qui se pavane dans le désordre qu'elle peut causer.
Tes yeux et ton esprit rivés vers le ciel,
Prêtant nulle attention aux pauvres mortels.
Tes actes toujours repoussés aux lendemains,
A fait dépérir plus d'un malheureux mondain.
Une incroyable artiste pour qui son allégresse,
Danse et danse dans des peaux perverses.
Ah, quelle merveilleuse créature arrogante
Aussi intéressante que cette œuvre.
Histoire
En entrant dans la salle des origines, les bruits environnants de constructions se taisent pour être remplacés par un air solennel très naturel. Accompagné par Calista, qui avance dans la salle comme si elle glisse sur le sol, vous montre d'un geste l'ensemble de la salle, une de ses priorités dans la construction de son sanctuaire, dans la Citadelle des Arts. À vrai dire, en entrant dans la salle, vous ne savez pas où poser vos yeux. Cette dernière est une œuvre d'art à elle seule, construite dans le seul et unique but d'exposer un récit… Une vie d'après les dires de la dirigeante des lieux, la sienne. Le problème est, par où commencer, alors que la salle entière mélange les différents supports pour conter l'histoire de votre hôte. Une méthode très particulière pour inscrire sa vie, alors que d'habitude les personnes qui écrivent à propos d'eux-mêmes le font dans des livres… Mais vous supposez que son attrait pour l'art, et ses origines ont peut-être quelque chose à voir avec cette particulière idée.
Cette pièce en elle-même est une œuvre d'art, l'architecture en elle-même suffit à la rendre éligible dans ce domaine. Portant, ce n'était pas suffisant pour votre hôte. Non, vous voyez que les six grands arts ont tous une place dans l’œuvre qu'est sa vie et que tous se mélange pour former le tout qu'est sa personne. L'architecture avec la salle en elle-même. La sculpture avec la statue centrale et les nombreuses gravures présentes dans toute la pièce. Les arts visuels avec les vitraux, les peintures et les tapisseries. La musique, qui ici est retranscrite d'une manière très particulière, avec l'écoulement de l'eau qui créer un air reposant qui résonne agréablement dans l'ensemble de la pièce. La littérature, vous voyez dans les coins du carré centrale des ouvrages qui y reposent dans des magnifiques bibliothèques stylisées. Et enfin, l'art de la mise en scène, non seulement pour l'ensemble de la bâtisse, mais aussi pour les aquariums qui possèdent moult de créatures dansantes en leur sein pour les uns, et des couleurs changeantes dans les autres. Le tout repose dans une légère lumière bleutée comme pour ajouter une atmosphère unique à la pièce… Comme si… On était plongée dans l'esprit de Calista. Une sorte de jardin artificiel où tout est une forme d'art. De l'écoulement des eaux aux bancs et plantes, rien n'a été laissée au hasard. Tout est calculé pour représenter une chose bien précise.
Alors que vous étiez perdue dans la beauté du lieu, vous apercevez l'artiste pointée du doigt le vitrail pour vous signaler, dans un silence qui lui est très étrange, qui ressemble à un respect solennel de ce lieu, que c'était ici, au bout de la salle, que le récit commençait. Vous approchez donc, dépassant la statue et enjambant le canal d'eau qui parcourt la salle pour vous retrouver en face de ce vitrail qui sur s'étend sur la globalité du pan du mur du fond. En vous dirigeant vers l'endroit pour mieux observer les dessins que le verre forme, vous admirez l'apparence globale de la salle. En forme d'une croix celtique au niveau du sol, alors que le bâtiment semble être un carré dans sa forme totale avec les aquariums, le pan du mur opposé à l'entrée est un splendide vitrail, qui s'élève jusqu'au dôme qui sert de toiture à la salle, lui-même étant un vitrail. Vous remarquez que certains dessins semblent fusionner avec les gravures qui descendent, et se propagent sur l'ensemble de la salle, en particulier sur les deux branches restantes, qui descendent petit à petit sur le sol. Votre regard se posant sur ce dernier, vous remarquez des mosaïques et des tapisseries, qui converge tous vers le centre de la salle, là où trône une statue mémorable de Calista, avec ce qui semble être moult et différents symboles, que vous avez hâte d'analyser. Rien n'est précieux dans la salle à proprement parler, mais le tout rend si bien visuellement que vous pouvez affirmer que cette salle à été conçue pour être une œuvre d'art.
En arrivant devant le vitrail, qui avec la lumière du soleil projette ses teintes sur votre corps et le carrelage, vous remarquer sur les pans des murs adjacents au gemmail possède eux aussi des ciselures. D'un rapide coup d'œil, avant de commencer votre lecture de cette œuvre irréaliste, vous remarquer que d'un côté, il semble que de nombreux anges et salamandres y sont présents, alors que de l'autre côté, cela semble être lui constituer majoritairement de sirène. Des idées vous viennent déjà à l'esprit, mais vous êtes coupés dans votre réflexion par la gracieuse silhouette de l'ange aux couleurs de l'eau, qui, de son sourire si énigmatique, pose le regard sur le vitrail, vous invitant par ses gestes à faire de même. Vous la suivez donc dans la danse du regard qu'elle a prévue pour vous et tous les visiteurs qui viendront observer cette salle, dans laquelle on peut sentir une passion et un travail acharné dans sa réalisation… Ainsi commence votre exploration des origines de la barde qui se nomme Calista.
Chapitre I : Quand l'eau rencontra la lumière
Le vitrail, traversé par la lumière du soleil et resplendissant sur le sol, désigne lui-même l'astre de lumière en son centre qui illumine un bébé se situant au-dessus de lui, qui possède une bien étrange particularité. Une peau rouge comme le feu, et une chevelure d'un blanc pur comme la lumière. Non, une faute s'est déposée sur votre regard en admirant l'œuvre. Non, une faute s'est déposée dans votre perception en admirant l'œuvre Le bébé possède une teinte écarlate, sauf à un unique endroit. Le front de ce dernier possède une tâche blanche, elle qui vous semblait au début être une touffe de la chevelure du bambin. Vous ne savez pas qui est cette enfant qui est représentée ici, mise à part qu'elle semble particulièrement importante, pour qu'elle soit la première chose à admirer dans cette œuvre. Vous ignorez la signification de celle-ci pour Calista, surtout qu'elles ne se ressemblent en rien. Elles semblent même être des opposés presque parfait…
Le bébé est étrangement éloigné de ce qui semble être ses parents… Une sirène, qui a un air triste alors que son regard observe l'enfant, semble être tiré vers les cieux, comme si elle avait été enlevée à cette vie de force… L'ange, chutant proche du soleil à s'en brûler les ailes, joint une main avec ce qui semble une all'ombra, alors que la deuxième main semble tendre sa main vers l'enfant, sans pour autant l'atteindre. Peut-être le fait-il par dépit, ou peut-être ne voulait-il pas la récupérer… L'ange semble être déprimé, malgré le regard passionné de l'all'ombra à son égard…
Un petit temps de réflexion est tout ce qui vous faut pour comprendre la symbolique derrière tout cela. Le soleil représente Lumenal, qui de part ses rayons semblent bénir l'enfant qui est au-dessus de lui… Pour une mystérieuse raison, il vous semble un instant que cela signifie plus que cela, mais qui peut le dire en manquant d'information ? Cependant, votre regard se doit de continuer de descendre, pour suivre les mouvements des doigts élégants de Calista, qui semble vous donner une vitesse de lecture, comme si vous deviez suivre le rythme pour ne pas rater un évènement qu'elle ne veut dévoiler pour le moment.
Se tenant en dessous des deux êtres encerclant le soleil, deux enfants, un homme et une femme. S'ils sont le fruit de cette union… Se pourrait-il que les deux soient encore vivants ? À moins que la famille ne date d'avant la Catastrophe, il est possible que ces ancêtres parcourent encore ce monde. C'est une question que vous vous mettez dans un coin de la tête, alors que vous yeux chutent, chutent jusqu'à arriver au sol.
Vous avez d'ailleurs remarqué des dessins très particuliers autour de chaque personnage. Peut-être sont-ils des symboles pour donner leur nom de chacun d'entre eux, si vous savez ce que signifient ces derniers ? Mais il y a aussi, dans ce vitrail, deux climats qui s'oppose. Le haut, chaleureux, donne une impression de territoire tempéré, un lieu comme Mearian, alors que le bas, c'est un art froid et austère, où la lumière ne passe que peu… Peut-être s'agit-il d'Ellgard ? Insinuerait-elle un voyage du pays des Seraphs à l'Empire pour l'ange au nom que vous ne connaissez pas ?
La question n'a pas le temps de rester bien longtemps dans votre esprit, que déjà Calista s'avance d'un pas dansant au pied du vitrail, et commence à parcourir de ses mouvements légers ce sol formé par une tapisserie, ces deux mains, montrant du bout de ses doigts fins, les deux autres pans du mur, où moult gravures sont inscrites avec un côté une ange et de l'autre un triton, où les deux êtres représentés semblent donner une direction de lecture pour leur mur respectif, qui est ciselés avec nombres de personne, commençant dans les profondeurs du passé et se dirigeant de plus en plus vers les hauteurs du présent. C'est, sans aucun doute, la lignée de Calista, et les membres de sa famille, les ancêtres de son sang.
Chapitre II : Quatre siècles d'histoire en deux regards
Bien que la femme ange et le triton représente une grande partie des pans muraux, au point même que leur gravure superpose le dôme en vitrail qui englobe toute la pièce, Calista ne vous laisse pas encore vous concentrez sur cette partie de son œuvre. Non, elle souhaite que vous admiriez ces pans de mur, et ses gestes vous indiquent que vous devez, en quelque sorte, lire les gravures comme un arbre généalogique… Commencer par un côté, et le garder en tête pour descendre la deuxième partie de l'arbre, qui possède, bien évidemment, la même destination, la jeune femme aux cheveux azure qui vous rend le regard que vous lui donnez, souriante, pourtant indiquant que vous devriez maintenant commencer votre lecture. Toujours avec cette étrange sensation qu'elle mène une danse du regard avec un tempo très précis, vous vous pliez à sa demande, en commençant par ce qui est son origine secondaire, celles des sirènes et des tritons.
Les informations sont à la fois inscrites et montrées par des images pour montrer les éléments importants de la vie de ses ancêtres. Vous vous approchez donc du mur davantage pour admirer la finition de l’œuvre et le moindre détail qui pourrait vous échapper. Vous remarquez deux trois choses, surtout concernant les dates, qui possèdent un symbole de vague à côté d'elles, indiquant que celle-ci n'est qu'une fourchette avoisinant les dates des morts, peut-être pour éviter de donner trop d'information sur sa famille, ou pour rendre le tout esthétique. Mais ce n'est certainement pas un caprice de l'artiste, c'est voulu, vous en êtes persuadez.
Vous commencez donc tout en bas, avec une inscription sur le mur qui ressemble à la ville d'Atlantys, montrant un triton qui part de celle-ci pour rejoindre les côtés Akanthienne… Aucun nom est inscrit, seules les dates de sa vie, entre cent vingt et cent quatre-vingts. Très peu de choses ont été inscrite à son sujet… Un oubli, un manque d'information ou bien… Cacher son sang d'une famille influente à Atlantys, qui est connu pour détester les croisés ? Vous n'osez pas poser la question, comme si une mine vous attendait sous votre pied trop curieux si vous la posiez. Vous vous concentrez donc plus sur la compagne, bien plus détaillée, avec un nom complet cette fois-ci, Arethusa Nerida, ayant vécu de cent vingt à cent quatre-vingts. On peut y voir un village, et ce qui semble être une lignée encore derrière elle, montrant qu'elle est issue des villages aux côtes d'Akantha depuis bien longtemps… Peut-être même avant la catastrophe. Les deux se tiennent les mains, qui donnent sur l'enfant suivant de la famille des Nerida, alors que des bateaux semblent partir vers les horizons, sans doute pour indiquer l'ouverture l'une des nombreuses compagnies maritimes pour lesquelles les sirènes sont réputées.
Leur fille est une sirène qui se prénomme Damla Nerida, qui naquit en cent cinquante et mourut en deux cents-vingts, qui semble reprendre l'entreprise de ses parents dans ses bras, et commence à la développer, ainsi que le village qui se transforme en une petite ville portuaire. Un homme qui descend d'un navire, un triton nommé Muir Asherah, avec une existence dans ce monde dura de cent quarante à deux cent vingt, lui tend sa main qu'elle attrape alors que l'autre comporte moult cartes qui avaient disparu à cause de la catastrophe, ouvrant probablement des nouveaux horizons pour la jeune famille marchande.
De leur union, naquit Ea Nerida, qui elle parcourut les eaux de cent quatre-vingts à deux cents-cinquante. Elle semblait être une voyageuse dans l'âme, laissant la gestion du commerce à ses parents pour visiter de moult endroits et rencontrer de tout aussi nombreuses personnes dans sa vie, comme l'indiquent les gravures de l’œuvre. Pourtant, un jeune homme bien plus fringant les domine tous, comme si elle avait été séduite par ce dernier, et c'est le cas. Un vampire du nom de Maurus Sunil, qui lui vécut dans l'ombre de cent cinquante à deux cent soixante-dix. La sirène se jette dans son embrasse pour donner naissance à leur enfant.
Pelagius Nerida, un croisé triton et vampire, naquit vers les années deux cents, pour disparaître vers les années trois cent vingt. Ce dernier semble être revenu vers les affaires familiales, profitant dans la longue longévité que ses origines lui procurait pour redresser l'entreprise familiale, et faire le travail que sa propre mère avait malheureusement négligée une bonne partie de sa vie. Le nombre de contrats et de cargaisons sous lesquels il semble crouler le montre bien que ce ne fût pas une vie aisée pour lui. Mais tout n'est fût pas noir, car une jeune sirène s’enroule autour de lui, pour l'aider à supporter sa charge de travail. Neith Darya est son nom, et c'est vers les années deux cent soixante-dix que l'arbre continue de monter.
Talia Nerida, qui mourût sept décennies plus tard seulement, semblait suivre les traces de ses parents, mais on peut voir qu'une sorte de lien, que vous devinez reliés aux affaires à la Cour des Cendres, la relie à une salamandre du nom de Shani Aliki qui lui vécut seulement un siècle après avoir naquit en trois cent cinquante. Un mariage arrangé, sans l'ombre d'un doute. C'est une monnaie courante dans les horizons de la cour, pour gagner en renommée et en puissance. Mais il ne semble pas avoir fait gagner tant que ça aux deux parties, vu que rien n'est inscrit à ce sujet. Si ce n'est que peut-être un futur héritage du salamandre, mais rien de bien grandiose, si ce n'est le garçon des deux, Elros Nerida.
Il naquit vers le troisième siècle après la catastrophe, pour mourir vers le quatrième siècle, il fait partie des ancêtres que Calista commence à connaître pour les avoirs vus pendant son existence, et cela se voit non seulement par les détails du faciès qui sont bien plus précis, mais aussi par le nombre d'informations plus détaillées qu'elle a inscrit sur ses derniers, qui possède une taille bien plus imposante par rapport aux ancêtres plus éloignés. Ainsi, Elros a continué les affaires familiales et qui a lui voyager au travers des quatre pays, vivant ce qui semble être de nombreuses aventures, qui à partir d'un moment ne se firent plus seul, mais avec une sirène nommée Océane Ondeflot. Cette dernière, vu les symboles de l'eau qui semble se plier à ses gestes, semblent être celle qui a introduit la magie dans la famille des Nerida, une qui est très proche de la manière dont l'ange à la chevelure azure utilise sa propre magie, avec son corps tout entier. Pour ou pas les mêmes choses, il semble en tout cas que le père, et plus tard la petite fille, ont eux-mêmes continuer la tradition corporelle de la magie qui est devenue familiale. La sirène aux noms de l'océan fut mise au monde dans la décennie des années trois cent trente, pour mourir tout récemment dans le courant du siècle actuel lors d'un malheureux accident maritime dont vous vous rappelez vous-même… Mais pas avant de donner naissance à Irving Nerida, le père de Calista.
Vous êtes obligés de prendre un ou deux pas de recul pour Irving, qui prend une grande partie du pan de mur, et dépasse même jusqu'au plafond rejoindre le dôme, et est le triton qui depuis le début, avec l'eau qu'il contrôle de ses doigts, vous guide dans l'arbre familial paternel de la barde dans ce qui semble être un petit ruisseau qui, petit à petit, prend la largeur d'un fleuve, comme pour faire écho à la nature même, qu'une famille grandit de jour en jour. D'année en année. De génération en génération.
Irving est né en l'an trois cent quarante-cinq, dans le village qui est maintenant venue une ville prospère où son ancêtre a mis les pieds il y a maintenant plus de deux siècles en arrières. À la tête de la compagnie familiale, qui a bien prospéré depuis ces humbles débuts, il semble être une personne qui aime s'entourer de l'art et de l'eau, possédant bien des richesses. Oh, il ne semble pas être le plus riche des marchands d'Atlantys, et pas le plus influent non plus, mais il peut se permettre une vie aisée. Les signes d'une vie assez tranquille et luxueuse vous sont toutes indiqués dans les imageries utilisées pour le décrire. Bien sûr, le plus impressionnant est sans doute la gravure de l'homme en lui-même, qui respecte scrupuleusement les formes du paternel de la barde. De ses mains guidant les spectateurs dans la lecture de ses origines. Mais, une partie de son corps n'est pas présente sur le pan de ce mur, mais aussi sur le dôme qui vous surplombe. Sa queue de triton qui semble atteindre le parfait centre de la prochaine œuvre, en un point opposé au précédent bébé à la peau rouge, se superpose avec un autre membre, une aile d'ange de la mère de la danseuse. Vous suivez donc des yeux l'aile, pour redescendre sur la représentation de la mère et finir à ses pieds, vous apprêtant à nouveau d'observer le parcours qui semble bien plus tumultueux dans la branche maternelle.
Une des raisons qui vous donne l'impression que cette branche est bien tumultueuse est déjà le commencement de la peinture… Qui elle prend non pas racine d'origines insondables, mais de l'homme qui naquit de l'ange et de l'all'ombra qui ne sont pas nommés. Pourtant, vous le connaissez cet homme, après un deuxième regard. Elior Everlid. Doyen de la famille depuis maintenant plus de trois siècles. Vous l'avez déjà vu rendre visite à sa descendante qui semble tant apprécier, en plus de ses apparitions à la cour. Une famille plutôt influente dans la Cour des Cendres, surtout très appréciée pour la sagesse de ses membres, mais rien de plus normal, quand ces derniers descendent d'une all'ombra. Il n'était pas rare de voir les rois se tourner vers lui et sa fille pour qu'ils donnent leur avis sur une question du monarque. Bien sûr, ils ne remplacent pas les plus hauts conseillers, mais étant des êtres pour qui ont vu une grande partie des différents règnes qui ont succédé à Onyx, et même la fin de ce dernier pour le père, le roi, quitte à écouter ses conseils ou ses réponses, les gardes quand même sous sa coupe, car une personne qui vit depuis des siècles est tout aussi une bénédiction qu'une malédiction. Bien que nul soit son intention, il pourrait trouver des failles dans les conflits centenaires des différents duchés s'il le souhaitait. Mais il ne vit pas dans la Cour depuis tout ce temps pour ses broutilles, et fait, aujourd'hui encore, en sorte que celle-ci perdure, et ce, pour l'éternité.
Un petit tapotement léger vous sort de vos pensées et de vos études de la Cour. La jeune artiste à ses yeux d'or rivés dans les vôtres, le regard interrogateur sur le fait de votre arrêt soudain dans la salle. Vous lui assurez que ce n'est rien, et repartez dans le bal artistique que son arbre généalogique propose. Une femme ardente et explosive arrive par le bas, émergeant de l'inconnue. Une salamandre, très guerrière au vu de son apparat, et très bien détaillés, comme tout le reste du pan de sa famille maternelle. Avoir des êtres qui ont vu, et verront vos générations futures doit être une grande aide à la création d'une telle œuvre. Ironiquement, vous trouvez aussi que cela montre à merveille le contraste des deux familles, qui au final donne une création qui se fusionne sans aucun défaut…
Vous vous reprenez avant de repartir dans vos pensées, surtout que le temps semble filer bien plus vite que vous ne l'aimeriez, et que la musicienne continue de mener l'orchestre qu'est cette pièce avec un rythme très précis. La salamandre se prénomme Ugné Warmfire, et semble tirer à elle l'habit dépassant d'Elior du vitrail vers elle, signalant probablement sa venue en Akantha. Celle-ci eu une vie ardente de l'an cent à celle de cent quatre-vingts. Une femme militaire au sien de l'armée Akanthienne, ce sont ce que les symboles l'entourant semblent suggérer, sous le règne d'Onyx Akantha ainsi que celui de Sear d'Akantha… Morte probablement pour raison liée celle au deuxième roi de notre belle monarchie.
Mais il n'empêche que la torche, littéralement sur la gravure, eût déjà été passée par les deux êtres, qui s'est concrétisée en une flamme qui vit encore en ce jour, Piroska Everlid. C'est elle, qui s'alluma en l'an cent cinquante-trois, qui permis à la famille de devenir une de celle de la haute société Akanthienne, aider et guider, bien entendue, par son père avec qui elle possède un lien tout particulier, dû aux origines de leur sang qui leur donne une vie longue, au point de voir défiler devant leurs yeux moult générations de leur propre sang, naître et mourir avant eux. Cela doit être une existence difficile, mais peut-être qu'avec le temps on s'y habitue… La salamandre à suer, pleurer, et cracher des flammes pour faire arriver sa famille dans sa position actuelle, et elle continue la lutte… Où devriez-vous dire le bal de la Cour des Cendres encore à ce jour, bien loin d'être une veille femme malgré toutes les années écoulées. Elle se maria à Russel Shorab, un autre salamandre noble, et lui donna plusieurs enfants, comme l'indique la fratrie autour de l'entrée suivante de cette gravure, mais une seule est intéressante ici, celui qui portera le nom d’Altan Everlid Shorab.
En effet, la famille est connue sous son grand public de nos jours sous le nom Everlid, et il est obligatoirement transmis aux descendants de la lignée, sous la forme de Prénom E. Nom, c'est un fait connu à la Cour des Cendres désormais. Altan est le premier de cette tradition qui naquit vers les années cent quatre-vingts, et sa personne elle mourut dans les années deux cent quatre-vingt-dix. Mais mise à part pour le lancement de cette tradition des noms, il n'est pas si connu que ça. Non, c'est plus sa femme, Garnet Agni, née vers deux cent dix et morte vers trois cent trente, qui est la plus connue du couple. Elle a permis à la famille de sécuriser sa place dans la Cour, grâce aux alliances de sa famille, comme le montre les chaînes que relient les symboles de nombre famille disparue ou encore existante à ce jour. Cependant, ils donnèrent naissance à la pauvre Trishna E. Shorab.
Cette salamandre, qui naquit en deux cent cinquante et s'éteignit en trois cent soixante-dix, une décennie avant la naissance de Calista, à une bien triste histoire dans la famille. À l'âge de trente ans, elle a eu le malheur de tomber sous le joug d'un lycan qui se prénommait Randal, et qui, au vu des dessins de la représentation graphique de l'arbre… À fait subir à la salamandre une relation sexuelle non consentie… Bien sûr, il fut châtié immédiatement par une morte expéditive, mais le mal fut fait, et neuf mois plus tard, le jeune croisé Tristant E. Shorab vint au monde.
Dans les bras de sa mère sur l’œuvre, il était choyé par celle-ci, car elle voulait plus que tout au monde qu'il ne devienne pas comme l'homme qui lui a donné naissance… Peut-être un peu trop, au point qu'il a fugué en Mearian, au temps où les deux nations commençaient à se rapprocher pour donner enfin l'alliance entre les deux pays. Il en profita pour rejoindre l'Ordre des Astres et apprit de ces derniers… Et bien des années plus tard, il revient dans son pays avec une humaine, Cahaya Lucasta, qui, certes eus une courte vie dans cette famille avec une longévité bien supérieure aux humains, toutefois, elle est probablement celle qui y a amenée le plus de changement dans le dernier siècle. C'est elle qui amena le régime de l'Ordre des Astres dans la famille, au grand damne d'Elior, qui lui croyait toujours dans les anciens dieux, bien qu'il le montrait de moins en moins au fil des années. La diminution des signes des Anciens et le remplacement des nouveaux dans la gravure sont une preuve de ce fait, et c'était probablement la chose à faire pour survivre. En tout cas, alors qu'elle mourût en trois centre trente, bien avant sa belle-mère, elle donna finalement naissance au grand-père maternel de Calista, Lior.
Il fait partie, avec Tristan, des figures que Calista a au moins aperçues une fois au cours de sa vie, bien qu'elle était encore jeune dans leurs dernières années de leur vie. Ayant repris le nom de Lucasta, pour signaler les changements au sein de cette branche de la famille des Everlid, qui n'était plus menée par des salamandres, il a vécu une vie simple… Pourtant… C'est grâce à lui et son amour pour sa femme, Lucina Natela, encore vivante à ce jour et, au vu des habits vestimentaires de cette dernière, une des cardinaux de la Cour des Cendres, que le cercle semble avoir été bouclée… En effet, ils ont donné naissance à une fille, la splendide Nur, mais surtout… La mère de Calista E. Lucasta.
Comme pour le père, vous êtes obligés de vous reculer pour observer toute sa figure qui vous guidaient avec les plumes de ses ailes dans la lecture de cet arbre très particulier. Montrant au monde toute sa splendeur, cette femme qui vit la lumière en trois cent vingt-huit est une prêtresse pour l'Ordre, partant souvent en mission dans les contrées de Mearian et d'Akantha propager la foi des habitants, et la sécuriser, ne faisant que de courte apparition à la Cour, laissant cette tâche à sa mère. En tout cas, vous ne pouvez qu'être impressionné devant le travail donné sur la pierre… Elle est si blanche au niveau des plumes, que la lumière se reflète sur celle-ci et donne une impression d'observer un véritable duvet de plume qui aurait été incrusté sur le mur… Vous les avez touchés pour vous en assurer, et c'était bien de la pierre lisse à votre grande surprise. La réflexion de la lumière ne fait que vous forcer à observer vers le haut, pour finalement finir là où l'autre arbre finissait… L'union des deux familles, de la lumière et de l'eau… Et la naissance, en trois cent quatre-vingt-deux, de celle qui aujourd'hui à construit cette œuvre d'art gigantesque qu'est le Sanctuaire des Nymphes… Calista E. Lucasta. Enfin, vous commencez à apercevoir votre hôte dans cette œuvre d'art, et pourtant, vous êtes déjà émerveillée par celle-ci alors que vous n'avez que fait observer actuellement les traces d'un passé très particulier.
Profil
- Pseudo : Luce Hyfer
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- Personnage de l'avatar : Fire Emblem Fates ▬ Azura
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