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alrun ─ la grande dévoreuse

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Alrun Magnhildr
IDENTITÉ
RACE ▬ Mythologique Nídhögg.
AGE ▬ Immémorable.
ORIENTATION SEXUELLE ▬ Désintéressée.
SITUATION PERSONNELLE ▬ Croqueuse de poissons.
NATIONALITÉ ▬ Alrun est étroitement liée à Atlantys, la ville sous l'océan. Elle a traversé plusieurs nations, mais c'est la seule sur laquelle elle s'est arrêtée.
FACTION ▬ Civils.
MÉTIER ▬ Gardienne et protectrice d'Atlantys.


MAGIE ET COMPÉTENCES
PHYSIQUE
❯ agilité x x ○ ○ ○
❯ force x x ○ ○ ○
❯ endurance x ○ ○ ○ ○
(TECHNO)MAGIE
❯ mana x x ○ ○ ○
❯ puissance x x x x ○
❯ contrôle x ○ ○ ○ ○
Alrun, en tant que mythologique, est sensiblement attirée par la magie et par les êtres qui la possèdent. Si elle est incapable d'en deviner les spécificités, il lui arrive cependant de ressentir la puissance d'un pouvoir utilisé, instinctivement.

Mue vorace ─ Comme la plupart des mythologiques, Alrun a du développer une capacité afin de survivre sur le très long terme : elle mue. Cela lui permet de renouveler son corps et de guérir de la plupart de ses blessures. Alrun est contrainte de muer relativement souvent afin de rester en bonne santé, environ une fois tous les deux mois. Lorsqu'elle le souhaite, sa mue peut entraîner un changement d’apparence : elle peut passer de sa forme originelle de serpent à une forme humanoïde. Alrun est incapable de changer sa masse corporelle, ainsi, si son enveloppe humanoïde fait une soixantaine de kilogrammes, ce sera également le cas de sa forme serpentine. La mue est un exercice long et douloureux, qui la prive de toutes ses forces pendant une trentaine de minutes. Il arrive cependant à Alrun de dévorer la peau de son ancien corps pour accélérer le processus de guérison. Une mue forcée hors des périodes habituelles la fera souffrir infiniment plus et la laissera vulnérable et paralysée pendant plusieurs heures.

Mère des Marées ─ Alrun est une créature des mers et des océans. Ayant une aisance particulière lorsqu'elle évolue sous l'eau, elle est également capable d'influencer les courants marins de façon subtile en utilisant son affinité avec cet élément moyennant une certaine quantité d'énergie et de concentration. Cela lui permet de se déplacer sous l'eau rapidement et de repousser les prédateurs un peu trop entreprenants, sans pour autant qu'il ne s'agisse d'une magie particulièrement offensive.

Festin sanglant ─ Son surnom de "grande dévoreuse" lui vient de sa faculté à absorber et se repaître de la chair de toutes espèces vivantes possédant de la magie. Absorber un être fera croître sa forme serpentine de façon progressive mais significative. Il s'agit d'un don dangereux, car le pouvoir appelle le pouvoir, et il est extrêmement difficile pour Alrun de s'arrêter une fois le carnage commencé.

Lorsqu'Alrun mue, toute la magie accumulée s'évapore rapidement sous la forme de poudre de cristal inutilisable car bien trop vite éparpillée. S'il lui est possible -et vital- de dévorer également un être vivant sous sa forme humanoïde, l'énergie ne sera cependant pas absorbée, et donc inutilisable.
PHYSIQUE
Siffle le monstre...
Créature trouvant aisément sa place dans vos pires cauchemars, la forme véritable de la Dévoreuse est celle d'un gigantesque serpent aux écailles immaculées et aux yeux sanguins. Empruntant la taille et la morphologie d'un gros anaconda, le monstre est doté de plusieurs rangées de crocs au poison paralysant et semble hérissé de nageoires, le dotant d'une terrible mobilité une fois sous l'eau. Nuls indices de son intelligence pourtant bien présente, la forme basique d'Alrun lui permet de se faire passer pour un (très) gros serpent aquatique albinos sans plus de spécificités. On distingue le monstre lorsqu'elle commence à grossir significativement, emmagasinant la chair et la vie à son profit. En tant que reptile, Alrun possède un regard nocturne mais une très mauvaise audition et une vue passable. Elle se repère principalement aux sons et aux mouvements, détectant les vibrations et les courants aquatiques, mais également la chaleur lorsqu'elle se trouve en milieu terrestre.

...Et danse l'âme.
Sous sa forme humanoïde, Alrun possède une peau laiteuse peu naturelle et nacrée, faisant écho à sa chevelure fibreuse et translucide, donnant un résultat immaculé. Son regard, contrairement à sa forme saurine, est d'un gris perle hypnotisant. Nulle pupille fendue, la seule spécificité de son regard est son manque de clignement de paupières : ses yeux sont recouverts de la même fine membrane protectrice que celle des autres serpents. Moyenne de taille est de carrure, quelques écailles recouvrent sa colonne vertébrale, mais suffisamment discrètes pour ne pas être visible au premier coup d’œil. La forme humanoïde d'Alrun a la possibilité d'évoluer en milieu terrestre comme aquatique, bien qu'elle se servira de sa magie aqueuse pour se mouvoir, faute de posséder la bien pratique queue de poisson de ses pairs tritons et sirènes. Son front est cerclé d'un croissant et d'un cercle lumineux, stigmates de sa toute première transformation, mais également sceau attestant de la surveillance attentive du dragon Razgriz. C'est devenu son symbole, au fil des âges et des générations.

○ ○ ○

Aperçu de sa forme originelle
CARACTERE
Brutale - contemplative - lunatique - manque de moralité mais pas d'empathie - fait la collection de choses qui brillent - avide - respectueuse des traditions - sauvage - intimidante - possessive - protectrice - mémoire très relative.

Alrun n'est ni un monstre, ni un être qu'on pourrait qualifier de totalement décent. Elle le reste cependant beaucoup plus que certains terrestres aux lubies dangereuses. Au moins, elle ne dévore que pour survivre. La créature est une personnalité étrange, et beaucoup se sentent mal à l'aise en sa présence. Contemplative et souvent passive, elle semble attendre. Attendre et observer. Alrun économise ses mots, son attention et son énergie. Alrun ne vous adressera pas la parole si elle n'a rien à vous dire, ou si vos propos la désintéresse. Alrun n'a que faire des conventions de politesse et de diplomatie, de courtoisie et de bonnes manières. Elle est née dans un monde sauvage et cruel, et s'est par conséquent formée à son image. Sauvage et cruelle, à la façon d'un prédateur désintéressé. Étrangement figée parfois, comme perdue dans le plus profond de son âme, absente.

Retenir l'attention d'Alrun plus de quelques minutes tient du miracle. Dotée d'une mémoire anarchique, le serpent oublie, contrepartie de sa longévité incroyable. Elle se souvient des odeurs, parfois des couleurs, mais rarement des noms. Il lui arrive d’appeler certaines personnes par le nom de leur ancêtre, si elle s'est interdit d'oublier celui-ci. Ce n'est nullement du manque d'intérêt, seulement un détachement tellement profond du temps en lui même qu'une vie sirène lui semble incroyablement courte. Alrun semble parfois lasse et mélancolique, toujours très lunatique. Il lui arrive d'avoir des sursauts d'énergie, surtout lorsqu'elle adopte son enveloppe de gardienne de la cité sous-marine, traquant sans relâche les prédateurs. Mais la plupart du temps, le serpent semble éthéré, voir parfois même en hibernation.

Alrun dort énormément, d'un sommeil sans fond, tant et si bien que des rituels ont été élaborés pour la réveiller en cas d'urgence. Des rituels douloureux mais nécessaires. Il arrive au serpent de consigner la plupart des souvenirs qu'elle souhaite conserver dans un carnet. Elle prend soin de conserver une certaine routine, afin de ne pas avoir à se soucier des détails. Si la plupart trouvent Alrun profondément désintéressée, ce n'est toutefois pas le cas : sensible aux événements qui l'entoure, elle fait preuve d'une surprenante empathie lorsque les occasions se présentent de le montrer. Alrun n'est plus un monstre. Elle se sent responsable envers Atlantys et se montre extrêmement protectrice envers cette dernière et ses habitants, qu'elle apprécie observer, toujours fascinée un peu malgré elle.

Alrun possède également quelques lubies qui peuvent paraître ironiques aux yeux de ceux qui la côtoie. Elle adore collectionner les choses qui brillent, pierres précieuses, bijoux antiques ou cailloux magiques ; se montrant indécemment possessive envers son petit trésor accumulé au fil des ères. Rien de tel qu'un bibelot brillant pour aider à attirer son attention.
HISTOIRE
« Au commencement était l’œuf. Coquille fragile qui laissait à peine entrevoir la lumière. Parfaite harmonie, équilibre ultime, moment arrêté dans le temps et dans le silence. La volonté de briser la mince paroi, prison et protection tout à la fois, émergea doucement, traversant ses pensées comme un ordre dont il lui aurait été impossible de s'affranchir. Désir d'être libre, de sortir, de vivre. Le bruit d'une naissance.

Puis vint la faim. Créature dévorante, monstre funèbre au rugissement lancinant, plantant ses griffes au plus profond de son être. Déchirante de douleur, lacérant son âme, son esprit et son corps, enfin. Rampant de désespoir et de peur, évoluant dans un monde hostile et inconnu, le serpent survécu. Il n'était pas fait pour vivre sur terre, vous comprenez ?

Traquer, tuer, rompre, avaler. Se repaître, muer, recommencer.

Seule, perdue et apeurée, aveuglée par un désir vorace de se sustenter toujours, toujours plus, toujours davantage, elle dévora encore et encore, la raison obscurcie par la faim qui la tenaillait depuis le jour de sa naissance. Elle vit apparaître et croître des nations, des races, des peuples. Elle ne faisait pas de différences entre eux, tous proies potentielles de son appétit féroce et insatiable. Peut-être aurait-elle du.

On la blessa très certainement, mais toujours elle s'échappait, revenait plus forte, plus grande, plus puissante. Plus impitoyable. Elle consumait pour survivre, et survivait pour consumer. Les êtres et leur magie se rompaient sous ses crocs, prédateur affamé aux écailles immaculées.
»

Le triton observa avec une satisfaction malicieuse le public suspendu à ses lèvres. Son silence dramatique provoqua quelques murmures étouffés, théories sur la suite de l'histoire, mais surtout des supplications discrètes pour continuer son récit. Une petite voix intervint.

Et alors, que s'est-il passé ? Le serpent a dévoré tout le monde ?

Le barde rit.

Par Aquaros non, sinon nous ne serions pas là pour écouter son histoire ! La Grande Dévoreuse, comme on l'appelait alors, frustrée par ces repas qui ne la rassasiaient jamais, essaya de croquer les étoiles.

Tu dis n'importe quoi, un serpent ne peut pas manger une étoile, rétorqua la sirène miniature d'un ton accusateur, vexée qu'on essaye de l'escroquer.

Eh bien, ce n'était pas n'importe quelle étoile, figure toi. Il s'agissait de la Constellation du Cerf.

Et alors, que s'est-il passé ? fit écho le frère de la jeune sirène, lui coupant sa prochaine remarque outrée concernant l'incohérence du récit. Avec un sourire, le barde se racla solonnellement la gorge et reprit sa voix de conteur, chaude et rocailleuse.

Pour la première fois depuis sa venue au monde, la Dévoreuse ne put absorber ce qu'elle avala et du recracher l'étoile, au risque de se voir exploser par tant de pouvoir concentré. On raconte que cet accident a provoqué un cataclysme sans précédent, remuant ciel et océans dans de terribles tempêtes qui s’abattirent sur le monde des hommes et des autres espèces. Cet événement laissa le serpent faible et meurtri, réduit à l'état de ridicule petite créature après le colosse et véritable cauchemar vivant qu'elle avait été. C'est à ce moment là que son instinct la poussa à s'exiler sous l'océan, pour toujours. Et plus jamais on entendit parler d'elle.

La principale critique du récit du triton plissa les yeux.

Pourquoi tu parles du serpent au féminin ? Et puis d'abord, comment tu pourrais raconter cette histoire qui s'est passé il y a si longtemps que ça si elle avait vraiment disparu, hein ?

Secret de conteur, réparti le barde avec un grand sourire qui fit grogner la petite.



La Comptine de la Grande Dévoreuse:

• • •


Cela faisait bien longtemps, pensait-elle dans une confortable semi-conscience, ruban immaculé dérivant toujours plus profondément dans les abysses des océans, chute inébranlable vers une mort certaine et accueillante. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait dévoré personne. Cela était mieux ainsi. Le monde vivrait mieux sans elle. On arrêterait de la haïr, de la chasser, de lui faire du mal. Elle n'aurait plus à se repaître de chair, de magie et de vie, être contre-nature qu'elle était. Les choses rentreraient enfin dans l'ordre. Et elle n'aurait plus jamais à dévorer.

Enfin libre.
Pour l'éternité.

• • •


La tranquillité des eaux l'apaisait, apaisait sa faim pour la toute première fois de sa longue existence. Elle se sentait dans son élément. En vie. Consciente et dotée de sa pleine raison. Cela ne lui était pas agréable. Elle aurait préféré restée un monstre pour ne pas avoir à affronter les conséquences du fléau qu'elle avait longtemps représentée dans le monde terrestre. Elle avait envie de se rouler en boule, de mordre le bout de sa queue et de se dévorer elle-même pour n'être plus qu'un mauvais souvenir. Un sentiment terrible la secouait depuis l'intérieur de son être. Très différent de la faim. Un sentiment déchirant, qui lui enserrait le cœur et l'âme.

Un regard gigantesque et vibrant de pouvoir l'arrêta net dans son inspection intérieure. Un regard fixé sur elle, pauvre créature faible qu'elle était devenue. Un nouveau sentiment se répercuta dans ses écailles, plus familier cette fois. La peur.

Ainsi, un monstre malade tel que toi peut être réparé, gronda l'origine du regard d'un ton pensif. Le serpent n'esquissait pas un geste devant le prédateur tout-puissant.

Un éclat électrique illumina un instant les écailles de ce dernier, dévoilant son être dans sa totalité. Ce que le serpent vit la glaça de terreur. Un dragon, immense, imposant et visiblement très intéressé. Et elle n'aimait pas se sentir être l'objet de cette curiosité. Pas du tout, quand bien même elle cru déceler une ombre de pitié dans les yeux de la créature ancestrale. L'était-elle autant qu'elle-même ?

Je sais que tu peux me comprendre, Mythique. La voix de la créature résonnait de toutes parts, vibrante de puissance. Un silence de stupeur s'étira pendant quelques secondes. Passons un marché, fini par continuer le dragon. Ces eaux sont mon domaine, et je t'autorise à y demeurer à une unique condition. Le reptile légendaire dévoila une longue rangée de crocs qui brillèrent d'un éclat sinistre dans le noir abyssal.Tu tâcheras de garder la raison et de ne jamais te sustenter plus que tu ne le dois. Si tu échoues à cette tâche, sois certaine que je te trouverai et que je mettrais un terme à ta pauvre existence. Définitivement.

L'eau semblait s’épaissir comme de la pierre autour d'elle, suffocante. Elle était prise au piège et il ne lui vint nullement à l'esprit de remettre en question la parole de la créature. Son assentiment fut immédiat, motivé par son instinct de survie. Le dragon, qu'elle reconnaîtrait plus tard sous le nom de Razgriz, sembla le comprendre car la pression autour d'elle se relâcha progressivement.  

Bien, déclara-t-il, avec une étincelle espiègle dans la voix. Va-t-en, maintenant.

Quand bien même le serpent aurait-il pu voir le brusque éclat qu'avait pris les écailles du dragon, elle n'aurait pu réagir face au courant marin dévastateur qui la propulsa loin de lui. Très loin. Si loin qu'elle échoua une fois de plus dans les ténèbres de l'inconscience, livrée aux caprices de l'océan et de ses habitants.

• • •


Elle resta longtemps tapis dans les ombres, créature méfiante à la conscience trop brusquement réveillée. Le dragon l'avait soigné physiquement, mais semblait avoir déclenché quelque chose à l'intérieur d'elle même. Comme s'il avait brisé un barrage de sentiments qui se déversaient à présent en elle de façon incontrôlable, tel un raz-de-marée. La faim se faisait plus distante face à cet amoncellement de sensations nouvelles. Elle la sentait toujours, à l'affût, rodant contre les frontières de son esprit. Jamais maîtrisée mais tout juste muselée. Terrible tentation à laquelle elle ne devait plus jamais succomber.

Ce déluge de nouvelles sensations lui apporta la plus surprenante d'entre elles : la curiosité. Elle se surprit à observer avec attention les créatures dans lesquelles elle ne voyait autrefois que simples victuailles. S'entichant malgré elle du peuple de l'océan, cet endroit dans lequel elle sentait son esprit s'apaiser, elle devint de plus en plus aventureuse à son égare, allant jusqu'à former l'envie de communiquer avec lui. C'est sans doute cette volonté qui lui permit de muer en une enveloppe plus semblable à la leur ; bien que dotée des jambes des peuples terrestres. En avait-elle suffisamment dévoré pour mémoriser à tout jamais leur apparence ? Terrible ironie.

Le premier contact se déroula sous le signe de la méfiance, bien que les sirènes et les tritons accueillirent le serpent comme un être originaire de l'océan. Ils semblaient le sentir, intrinsèquement. La créature démontra sa bonne volonté, chassant les prédateurs et protégeant les habitants. Il fallut longtemps. Mais qu'étaient quelques années face à l'éternité de massacres qu'avait perpétré la mythologique ? Elle trouvait en ce peuple le moyen de se racheter envers le monde. Envers la vie. Envers elle-même.

Au terme d'une très longue période et de plusieurs générations, Atlantys en vint à accepter le serpent comme une part de la ville elle-même et de son folklore. Protectrice immortelle et gardienne révérée. De façon régulière, on lui offrait les condamnés et les intrus de la cité, afin de satisfaire sa faim jamais domptée. Parfois même quelques sang-mêlés indésirables. En échange, elle éloignait prédateurs et éventuels belligérants aquatiques, éliminant toute menace de façon efficace et impitoyable, à l'exception du Kraken, rempart malgré lui de la cité aquatique.

Jamais plus elle n'entendit parler du dragon, et qu'on ne le se cache pas : elle ne mit pas beaucoup de bonne volonté à recroiser sa route, traumatisée par leur seule et unique rencontre, épée de Damoclès à tout jamais placée au-dessus de sa tête, abattue au moindre écart de conduite. Si elle garda un œil sur les affaires terrestres, elle s'en détacha complètement, estimant qu'elle avait déjà apporté assez de catastrophes dans ce monde.

A condition du moins qu'on ne la force pas à sortir des océans, d'une façon ou d'une autre...

DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Croquelune
AGE ▬ 22 ans
TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬ Je ne sais plus.
UN AUTRE COMPTE ▬ Achillée et Vasilisa. alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬ League of Legends ▬ Diana
TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Ui.
La Grande Dévoreuse alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
    On ne t'arrête plus alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245 courage pour la troisième fiche!
Re-Re-Re Bienvenuuuuuue !
Tout ça c'est la faute d'Hazel alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
Merci, je tâche de finir vite !
Je ne vois pas de quoi tu parles alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
C'est terminé, merci de votre patience alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
J'espère qu'Alrun vous plaira.
Yeah !

On passe te lire rapidement alrun ─ la grande dévoreuse  3622086245
おめでとう !
Félicitations, tu es validé(e)!

LES TEMPS FORTS ▬ Une créature d'Atlantys c'est un chouette choix, et j'aime beaucoup sa compétence de mue en rapport avec sa nature de serpent.


REMARQUES ▬ Rien de spécial, j'espère qu'avec Alrun tu animeras un peu les mers de Lost Kingdom  alrun ─ la grande dévoreuse  635802493

Amuse toi bien avec ce nouveau personnage :)