Ça faisait maintenant plusieurs jours que j'errais un peu sans but au milieu du plus grand désert d'Akantha. El deserto comme il l'appelait par ici... A ce stade là ce n'était plus une faute de goût mais professionnelle. Sur ma route j'avais croisé à plusieurs reprises plusieurs tribus nomades, avec lesquels j'avais fais un petit bout de chemin, avant de les quitter quand ils finissaient par s'entre déchirer. C'était fantastique cette faculté qui me permettait de créer le chaos partout où je passais. Ça faisait maintenant plusieurs années que je vivais ainsi, comme un ermite, créant le chaos partout où je passais. Seulement j'évitais les villes des quatre nations, me contentant comme en ce moment, de m'entraîner avec des tribus nomades ou des petits villages. C'était plus facile aussi, car il y avait moins de monde à affecté par mon pouvoir. Dans les grandes villes, ça serait d'autant plus compliqué aussi. Si je ne pouvais pas provoquer le chaos dans toute la ville en une fois, je risquais de me faire repérer très vite. Ça me suffisait pour le moment, je me faisais les dents ainsi.
Comme je le disais pour le moment, c'est pour ça que je m'étais rendu en Akantha, car la nation était divisé en plusieurs duché et je pouvais peut être tenter quelque chose dans une ville suffisamment isolé. Je ne voyais que des étendues de sable blanc à perte de vue, depuis maintenant mon départ de la dernière tribu de nomade. Je désespérais de tomber sur un village, non pas pour y mettre le bazar, mais avant tout pour m'y reposer et me restaurer. Ça faisait quelques temps que je n'avais plus mangé quelque chose de suffisamment consistant et de bon surtout.
Heureusement pour moi, au matin suivant, alors que le soleil se levait, irradiant l'horizon de ses rayons pleins de chaleur, je semblais enfin arriver au terme de ma traversé du désert. En contre bas, dans l'ombre d'une falaise, je pouvais voir un petit village, d'une dizaine d'habitations tout au plus. Ils auraient sûrement une auberge et de quoi me nourrir. Ni une ni deux, j'accélérais le pas pour m'y rendre, espérant y arriver avant midi, histoire de pouvoir me restaurer aussitôt. Heureusement, la descente fut rapide et en une bonne heure j'arrivais finalement à l'entrée du village. Habillé d'une longue cape marron, toute poussiéreuse, masquant par la même occasion ma tête et mes longs cheveux blanc d'une capuche, on ne pouvait pas se tromper sur moi, je faisais vraiment voyageur.
Alors que je remontais la rue principale, je pouvais voir les différents habitants du village s'affairer à leurs différentes occupations, professionnelles pour certain. Faisant aucun cas des regards qui pesaient sur moi, je me rendais aussitôt à l'auberge, y poussant la porte pour pénétrer dans la bâtisse. La plupart des tables étaient vide, étant donné qu'il n'était pas encore tout à fait midi. Rabattant la capuche pleine de sable blanc sur mes épaules, je saluais l'aubergiste, alors que de mon regard argenté je sondais les lieux. Une femme aux longs cheveux brun était assit à un coin de la pièce, affairé à se nourrir. Quelque chose chez elle m'intrigua, elle ne m'était pas inconnu. J'avais la sensation de l'avoir déjà rencontré quelque part, sauf que je n'arrivais pas à me rappeler où. Haussant les épaules, je me tournais plutôt vers l'aubergiste. « Vous reste t-il une chambre ? », lançais-je.
Il me répondit par l'affirmative. Souriant, je lui demandais par la suite si je pouvais commander quelque chose à manger. Il m'indiqua une table, en me disant qu'il passerait m'apporter à manger. Le remerciant, je me détournais du bar pour m'approcher de cette femme. Il fallait que je sache, ça m’intriguait beaucoup trop. Une fois devant sa table, je me grattais la gorge pour signifier ma présence. « Désolé de vous déranger, mais on ne se saurait pas déjà rencontré quelque part ? J'ai l'étrange sensation de vous connaître... », disais-je, d'une voix mal assurée, voir gêné. Me grattant l'arrière de ma tête, au milieu de ma longue chevelure blanche, j'essayais de garder une contenance. « Je sais, je dois passer pour un fou, mais je ne peux pas l'expliquer. ».
Comme je le disais pour le moment, c'est pour ça que je m'étais rendu en Akantha, car la nation était divisé en plusieurs duché et je pouvais peut être tenter quelque chose dans une ville suffisamment isolé. Je ne voyais que des étendues de sable blanc à perte de vue, depuis maintenant mon départ de la dernière tribu de nomade. Je désespérais de tomber sur un village, non pas pour y mettre le bazar, mais avant tout pour m'y reposer et me restaurer. Ça faisait quelques temps que je n'avais plus mangé quelque chose de suffisamment consistant et de bon surtout.
Heureusement pour moi, au matin suivant, alors que le soleil se levait, irradiant l'horizon de ses rayons pleins de chaleur, je semblais enfin arriver au terme de ma traversé du désert. En contre bas, dans l'ombre d'une falaise, je pouvais voir un petit village, d'une dizaine d'habitations tout au plus. Ils auraient sûrement une auberge et de quoi me nourrir. Ni une ni deux, j'accélérais le pas pour m'y rendre, espérant y arriver avant midi, histoire de pouvoir me restaurer aussitôt. Heureusement, la descente fut rapide et en une bonne heure j'arrivais finalement à l'entrée du village. Habillé d'une longue cape marron, toute poussiéreuse, masquant par la même occasion ma tête et mes longs cheveux blanc d'une capuche, on ne pouvait pas se tromper sur moi, je faisais vraiment voyageur.
Alors que je remontais la rue principale, je pouvais voir les différents habitants du village s'affairer à leurs différentes occupations, professionnelles pour certain. Faisant aucun cas des regards qui pesaient sur moi, je me rendais aussitôt à l'auberge, y poussant la porte pour pénétrer dans la bâtisse. La plupart des tables étaient vide, étant donné qu'il n'était pas encore tout à fait midi. Rabattant la capuche pleine de sable blanc sur mes épaules, je saluais l'aubergiste, alors que de mon regard argenté je sondais les lieux. Une femme aux longs cheveux brun était assit à un coin de la pièce, affairé à se nourrir. Quelque chose chez elle m'intrigua, elle ne m'était pas inconnu. J'avais la sensation de l'avoir déjà rencontré quelque part, sauf que je n'arrivais pas à me rappeler où. Haussant les épaules, je me tournais plutôt vers l'aubergiste. « Vous reste t-il une chambre ? », lançais-je.
Il me répondit par l'affirmative. Souriant, je lui demandais par la suite si je pouvais commander quelque chose à manger. Il m'indiqua une table, en me disant qu'il passerait m'apporter à manger. Le remerciant, je me détournais du bar pour m'approcher de cette femme. Il fallait que je sache, ça m’intriguait beaucoup trop. Une fois devant sa table, je me grattais la gorge pour signifier ma présence. « Désolé de vous déranger, mais on ne se saurait pas déjà rencontré quelque part ? J'ai l'étrange sensation de vous connaître... », disais-je, d'une voix mal assurée, voir gêné. Me grattant l'arrière de ma tête, au milieu de ma longue chevelure blanche, j'essayais de garder une contenance. « Je sais, je dois passer pour un fou, mais je ne peux pas l'expliquer. ».