MAVIS THELXIS
grande prêtresse
RACE ▬ Humaine AGE ▬ 19 ans ORIENTATION SEXUELLE ▬ Hétérosexuelle SITUATION PERSONNELLE ▬ Célibataire endurcie NATIONALITÉ ▬ Mearian FACTION ▬ Ordre des Astres MÉTIER ▬ Grande Prêtresse de l’Ordre | ||
MAGIE ET COMPÉTENCES
AMPLIFICATEUR (passif) - Sa magie dans la forme la plus passive. Dans un rayon de cinq mètre autour d’elle, la puissance de toute personne présente se trouve amplifiée d’une façon loin d’être négligeable. Cet aspect de son pouvoir n’est hélas pas contrôlable, l’amélioration est fixe et présente dans tous les états de la demoiselle ; qu’elle soit dans un monde onirique ou dans celui qu’elle côtoie la journée. Bien entendu, ce gain de puissance est ressenti par ceux autour d’elle, et on raconte même que la sensation d’être pris d’un nouveau flux de pouvoir est très agréable et même addictive - d'où ce désir de possession. Ce pouvoir ne pouvant être désactivé, il puise donc continuellement sur le mana de Mavis qui, malgré ses réserves ressent la fatigue et la faiblesse physique plus que n’importe qui. AMPLIFICATEUR PERFIDE - Un pouvoir consommant beaucoup de mana sur la durée. Il ne suffit que d’une étreinte chaleureuse avec la personne de son choix pour que cette dernière soit marquée par la jeune mage. A partir de ce moment, l’effet de son amplificateur -et donc le boost de puissance- n’est plus effectif pour cette cible. Changement pour cette dernière - il lui suffit de réussir un coup sur une ou plusieurs cibles données afin qu’elle vampirise leur puissance en relativement faible quantité mais qui peut s’avérer fatale sur un long combat. Sur une cible unique, le gain de puissance sera plus conséquent que sur plusieurs cibles. Cela ne fonctionne évidemment pas sur les individus ne possédant pas l’once de mana. Afin de garder le lien effectif, Mavis doit garder un contact visuel avec la cible et celle-ci ne doit pas s’éloigner trop d’elle. AMPLIFICATEUR D’AURA - Peut être effectif sur deux personnes maximum simultanément. Ce n’est pas une illusion, mais une modification de l’état d’une personne pendant une période donnée. Mavis peut changer de manière méliorative l’aura émanant d’un individu, et ce de manière plus ou moins démesurée, ainsi elle peut rendre un homme très charismatique et celui-ci aura plus d’impact lorsqu’il effectuera un discours ou qu’il devra s’adresser en public. Bien évidemment, si l’éloquence de l’individu est médiocre, le contraste ne donnera rien de vraiment convaincant - elle modifie simplement ce que dégage une personne et pas l’essence même de cette dernière. Elle peut également rendre une personne très intimidante - étant un charme magique, un mage peut en effet voir que la cible dégage quelque chose de peu naturel mais ne saurait définir quoi à moins que la puissance soit supérieure ou égale à elle - et encore. Il est difficile de s’en détourner. Mavis peut rendre une personne si écrasante qu’il est compliqué de la regarder dans les yeux, créant une mélasse d’admiration, de peur et d’intimidation dans le regard des autres. Les fenêtres sont multiples, il suffit d’un simple souhait. Le seul souci étant le périmètre - si plus de cinq mètre les sépare, le charme est brisé. |
PHYSIQUE
Elle possède une constitution admirablement fragile. Ridicule chose étant capable de se briser à la moindre intempérie, Mavis est petite et fragile et pourtant dotée d’une robustesse et d’une volontée de vie sans pareil. Surplombant le sol d’un mètre cinquante cinq pour environ quarante-neuf kilogrammes, elle semble faire pâle figure face à ses comparses et même ses ennemis. Sa musculature n’est qu’à peine développée malgré tous ses efforts pour rester en forme et même si elle semble légèrement svelte pour quelqu’un de sa carrure, elle n’a rien de véritablement spécial et reste la plus banale des humaines, tout à fait intégrée dans les canons de sa race. Sa peau ne porte pas le signe de la moindre violence physique, totalement laiteuse et lavée de toute impureté qu’elle quelle soit. Ses courbes sont relativement féminines - ses hanches étant bien plus larges que sa taille - mais bien loin d’épater la galerie comme d’autres femmes de son âge pourraient le faire, compte tenu du fait qu'elles sont souvent étouffées sous des vêtements ne laissant pas grand chose s'échapper. A vrai dire, elle ne sort de l’ordinaire que de par son visage un peu plus atypique contrairement au reste de ses semblables. En effet, elle possède de grands yeux ronds et perpétuellement pleins d’émotions et d’expressions - ceux-ci sont colorés d’un cramoisi intense, synonyme de son lien direct avec la magie, la découverte de ses pouvoirs ayant modifié ce seul aspect. Sa chevelure est colorée d’un blond platine naturel, ondulant sur son visage, obstruant même sa vue d’un moment à un autre, et tombant en cascade jusqu’au milieu de son dos, environ. Malgré les recommandations de se les raccourcir, elle a toujours refusé. Son nez est fin et peu imposant, ses lèvres charnues accompagnent en permanence ses orbes en complétant ses expressions faciales de la meilleure manière qui soit. Ses oreilles sont fines et légèrement pointues, un peu plus que la normale humaine d’ailleurs - plusieurs rumeurs couraient autrefois sur sa véritable nature au vu de cet attribut pour le moins étrange mais il ne fait aucun doute ; elle est humaine et ne possède pas la moindre goutte de sang elfique dans ses veines.
Néanmoins, malgré la banalité apparente de son apparence, son rôle au sein de l’Ordre contraste parfaitement avec sa personne. Alors qu’on aurait pu penser que ses affublements seraient tout aussi banals, il n’en est rien. Ainsi, la jeune femme est affublée d’une armure totalement sur-mesure et adaptée à ses capacités physiques limitées, surtout à sa capacité à supporter une charge pendant un moment. C’est une armure légère et pourtant réellement solide qu’elle porte, très variée de couleurs ; principalement albâtre, rayée de gris et arrondie de noir. Ainsi, sa cuirasse couvre la quasi entièreté de son être, de son buste jusqu’à la pointe de ses doigts et ses chevilles, omettant cependant l’intérieur de ses cuisses laissées à découvert - exigence de la demoiselle qui ne voulait pas ressembler à un soldat, garder une touche d’originalité, voire même de sensualité. Ses épaules ne sont pas non plus couvertes d’armure, mais d’un vêtement noir bouffant. Elle possède une longue cape bleu pervenche, virevoltant au gré des agitations de son être, retenue au milieu de son buste par un bijou ; blason de l’Ordre des Astres orné d’or et d’argent.
La Prêtresse est une figure à l’apparence rassurante. Elle représente parfaitement son rôle d’icône ; objet de l’adoration de Mearian et malgré sa nature banale, son apparence dégage quelque chose de singulier.
Néanmoins, malgré la banalité apparente de son apparence, son rôle au sein de l’Ordre contraste parfaitement avec sa personne. Alors qu’on aurait pu penser que ses affublements seraient tout aussi banals, il n’en est rien. Ainsi, la jeune femme est affublée d’une armure totalement sur-mesure et adaptée à ses capacités physiques limitées, surtout à sa capacité à supporter une charge pendant un moment. C’est une armure légère et pourtant réellement solide qu’elle porte, très variée de couleurs ; principalement albâtre, rayée de gris et arrondie de noir. Ainsi, sa cuirasse couvre la quasi entièreté de son être, de son buste jusqu’à la pointe de ses doigts et ses chevilles, omettant cependant l’intérieur de ses cuisses laissées à découvert - exigence de la demoiselle qui ne voulait pas ressembler à un soldat, garder une touche d’originalité, voire même de sensualité. Ses épaules ne sont pas non plus couvertes d’armure, mais d’un vêtement noir bouffant. Elle possède une longue cape bleu pervenche, virevoltant au gré des agitations de son être, retenue au milieu de son buste par un bijou ; blason de l’Ordre des Astres orné d’or et d’argent.
La Prêtresse est une figure à l’apparence rassurante. Elle représente parfaitement son rôle d’icône ; objet de l’adoration de Mearian et malgré sa nature banale, son apparence dégage quelque chose de singulier.
CARACTERE
QUALITÉS : Intelligente, sage, généreuse, forte, mature, douce, idéaliste, bon esprit critique rêveuse, soucieuse.
DÉFAUTS : Naïve, têtue, caractérielle, maladroite.
Elle n’est pas très imposante ni vraiment effrayante, au fond. Elle n’a pas été dotée d’une magie agressive, et ne l’est pas non plus. Certains l’observent d’un oeil adorateur de par son statut, pendant que d’autres crachent leur mépris sans la moindre vergogne. Aimée et haïe, adorée et détestée.
La Grande Prêtresse n’a que dix-neuf ans, elle fait en effet une bien pâle figure face au Pape qui lui ne déçoit personne ni de par ses actions, et encore moins par son apparence.
Mais les gens devaient apprendre à l’aimer et au fur et à mesure du temps passé à prêcher la parole des Dieux, la confiance de chaque habitant de Mearian fut sienne et gardée, préservée avec le plus grand soin par la jeune femme. Elle semble très douce, sa voix est calme est posée et pourtant semble autoritaire et déterminée - elle a conscience que son rôle n’est pas qu’une simple histoire de trouver un icône que le peuple pourrait aduler, et c’est la raison pour laquelle sa volonté et sa détermination sont inébranlables. Malgré son jeune âge, on croit en elle parce qu’elle a parvenu à s’imposer telle qu’une Grande Prêtresse et qu’on l’a finalement formatée et conditionnée afin qu’elle ne sache faire quoi que ce soit d’autre.
Lorsqu’on lui parle, on évince délicatement toutes les horreurs que l’Ordre a pu commettre, quelles qu’elles soient. Mavis est un véritable rayon de soleil qui apaise et qui attendrit, d’une générosité rarement vue sur cette misérable terre. Ses vertus savent la guider mais ne sauraient l’aveugler, son éducation lui a appris à discerner le bien du mal - selon l’Ordre bien évidemment - et ainsi à ne pas être qu’une mélasse niaise et vide qui ne serait qu’une pâle copie d’un empilement de qualités que les gens chercheraient chez une jeune femme.
Cloîtrée dans un temple durant toute son éducation, elle a dû jeter son dévolu sur de nombreux ouvrages sur ce monde, qui ont participé au forgement de sa culture et par la suite d’un certain recul face à tout ce qui a pu se passer au cours de l’histoire.
Mavis est réellement intelligence, dotée d’une capacité de réflexion et d’une sagesse rarement connue pour quelqu’un de son âge et surtout de son statut - deux facteurs qui auraient dû avoir développé un ego particulièrement envahissant… Et même si elle reconnaît être plutôt fière de sa place dans l’Ordre et que l’adoration du peuple de Mearian gonfle son estime de soi, sa conscience reste cependant claire et loin d’être obstruée.
Malgré sa tendresse et sa gentillesse rayonnante, elle reste une femme forte et audacieuse qui ne recule devant rien. Mature, responsable. Admirable. Elle a toutes les caractéristiques d’une jeune femme studieuse et irréprochable, malgré son statut de Prêtresse qui n’est que le prétexte futile pour la garder près de l’Ordre hors des mains des mages noirs. Elle a conscience de n’être qu’une figure objectifiée, mais ne se voit pas être autre chose que ceci puisque l’Ordre est la seule maison l’ayant accueillie sans réelle mauvaises intentions à la base.
Mavis, cependant reste un personnage assez mystérieux. Même en entretenant un réel lien d’amitié avec elle, on a cette impression qu’elle est cachée par un linceul protecteur voilant une partie de sa personne. Elle ne semble jamais véritable, même si son essence est évidemment loin d’être méchante, mesquine ou encore perfide ; une simple créature un tantinet méfiante. Carapace uniquement brisée face aux Seraphs à qui elle sait qu’elle ne peut rien cacher ; les respectant profondément et les tenant beaucoup trop en estime pour pouvoir leur cacher la moindre chose.
DÉFAUTS : Naïve, têtue, caractérielle, maladroite.
Elle n’est pas très imposante ni vraiment effrayante, au fond. Elle n’a pas été dotée d’une magie agressive, et ne l’est pas non plus. Certains l’observent d’un oeil adorateur de par son statut, pendant que d’autres crachent leur mépris sans la moindre vergogne. Aimée et haïe, adorée et détestée.
La Grande Prêtresse n’a que dix-neuf ans, elle fait en effet une bien pâle figure face au Pape qui lui ne déçoit personne ni de par ses actions, et encore moins par son apparence.
Mais les gens devaient apprendre à l’aimer et au fur et à mesure du temps passé à prêcher la parole des Dieux, la confiance de chaque habitant de Mearian fut sienne et gardée, préservée avec le plus grand soin par la jeune femme. Elle semble très douce, sa voix est calme est posée et pourtant semble autoritaire et déterminée - elle a conscience que son rôle n’est pas qu’une simple histoire de trouver un icône que le peuple pourrait aduler, et c’est la raison pour laquelle sa volonté et sa détermination sont inébranlables. Malgré son jeune âge, on croit en elle parce qu’elle a parvenu à s’imposer telle qu’une Grande Prêtresse et qu’on l’a finalement formatée et conditionnée afin qu’elle ne sache faire quoi que ce soit d’autre.
Lorsqu’on lui parle, on évince délicatement toutes les horreurs que l’Ordre a pu commettre, quelles qu’elles soient. Mavis est un véritable rayon de soleil qui apaise et qui attendrit, d’une générosité rarement vue sur cette misérable terre. Ses vertus savent la guider mais ne sauraient l’aveugler, son éducation lui a appris à discerner le bien du mal - selon l’Ordre bien évidemment - et ainsi à ne pas être qu’une mélasse niaise et vide qui ne serait qu’une pâle copie d’un empilement de qualités que les gens chercheraient chez une jeune femme.
Cloîtrée dans un temple durant toute son éducation, elle a dû jeter son dévolu sur de nombreux ouvrages sur ce monde, qui ont participé au forgement de sa culture et par la suite d’un certain recul face à tout ce qui a pu se passer au cours de l’histoire.
Mavis est réellement intelligence, dotée d’une capacité de réflexion et d’une sagesse rarement connue pour quelqu’un de son âge et surtout de son statut - deux facteurs qui auraient dû avoir développé un ego particulièrement envahissant… Et même si elle reconnaît être plutôt fière de sa place dans l’Ordre et que l’adoration du peuple de Mearian gonfle son estime de soi, sa conscience reste cependant claire et loin d’être obstruée.
Malgré sa tendresse et sa gentillesse rayonnante, elle reste une femme forte et audacieuse qui ne recule devant rien. Mature, responsable. Admirable. Elle a toutes les caractéristiques d’une jeune femme studieuse et irréprochable, malgré son statut de Prêtresse qui n’est que le prétexte futile pour la garder près de l’Ordre hors des mains des mages noirs. Elle a conscience de n’être qu’une figure objectifiée, mais ne se voit pas être autre chose que ceci puisque l’Ordre est la seule maison l’ayant accueillie sans réelle mauvaises intentions à la base.
Mavis, cependant reste un personnage assez mystérieux. Même en entretenant un réel lien d’amitié avec elle, on a cette impression qu’elle est cachée par un linceul protecteur voilant une partie de sa personne. Elle ne semble jamais véritable, même si son essence est évidemment loin d’être méchante, mesquine ou encore perfide ; une simple créature un tantinet méfiante. Carapace uniquement brisée face aux Seraphs à qui elle sait qu’elle ne peut rien cacher ; les respectant profondément et les tenant beaucoup trop en estime pour pouvoir leur cacher la moindre chose.
HISTOIRE
Abandonnée par ses géniteurs démunis avec pour seule indication son prénom et son nom et en vue de pouvoir jouir d’une meilleure vie qu’eux, Mavis Thelxis n’a jamais connu la chaleur affective de parents malgré avoir cherché ces derniers dans tout Mearian. On ne peut pas dire qu’elle ai vécu une enfance malheureuse pour autant - cet enfant hélas fut une victime au destin inévitablement tragique, marquée par la fatalité d’un bain toxique dans une religion fermée et manipulatrice, surtout auprès de la jeunesse. On lui a inculquée très jeune les principes de Mearian et de la religion, la foi auprès des Seraph a été très rapidement une partie de son entité. Son enfance s’est déroulée dans le Temple de Tempérance, qui l’a forgée telle qu’elle est aujourd’hui ; aide précieuse qu’elle ne regrette pas.
Bien évidemment, tous ses apprentissages étaient en vue de devenir Grande Prêtresse, comme la majorité des enfants de la nation qui n’avaient que cet objectif aux yeux - statut vu comme un véritable idylle de petite princesse insouciante. Rêve au même titre que tous les autres. Mavis n’a jamais réellement aspiré à devenir Grande Prêtresse, elle n’était qu’une petite fille désireuse d’apprentissage et d’un amour qu’elle a reçu par les fidèles des temples mais qui était loin d’être celui qu’un père ou une mère aurait pu lui apporté - qu’elle s’est cependant bien contenté. Le Seraph de la Tempérance et ses fidèles lui ont apporté la pleine retenue de ses passions qui auraient pu l’aveugler malgré la religion. Toute son enfance et une partie de son adolescence s’est déroulée dans ce temple, et dès lors que Tempérance eut rempli sa tâche, la jeune fille était traînée de temples en temples afin d’embrasser chacune des vertus selon le bon vouloir des Seraphs. Qu’elle était une élève admirable, à seulement quatorze ans.
Un séjour prolongé auprès de Piété et Adoration, qui leur enseignèrent la ferveur religieuse et la foi. Courage et Force l’ont aidé à consolider les bases de sa personne que Tempérance avait forgé. Sensibilité, quant à lui adoucit ce mélange de prime abords bien aigre qui promettait un endoctrinement évident, en lui inculquant sa vertu. Charité elle aussi adoucit la personne qu’était Mavis. Justice lui apprit le discernement et la conception du bien et du mal ; ajoutant à son tour son épice à cette mélasse afin de faire d’elle quelque chose d’à la fois doux et relevé. Chacune des vertus l’aidèrent à devenir ce qu’elle était, et c’est la raison pour laquelle elle éprouve un respect incommensurable à l’égard de ces êtres supérieurs.
Malgré sa connaissance d’autres divinités ayant troqué leurs vertus pour des pêchés. Ce secret fut bien entendu gardé secret, du moins en attendant qu’il soit révélé de lui-même elle jouera la carte du mutisme.
16 ans. Assassinat de la Grande Prêtresse actuelle par ce Séraph sali.
Sans rien comprendre, elle prend sa place et ce titre honorifique glorifie son entité, et ce jusqu’à ce qu’elle périsse à son tour par la maladie ou la lame.
Bien évidemment, tous ses apprentissages étaient en vue de devenir Grande Prêtresse, comme la majorité des enfants de la nation qui n’avaient que cet objectif aux yeux - statut vu comme un véritable idylle de petite princesse insouciante. Rêve au même titre que tous les autres. Mavis n’a jamais réellement aspiré à devenir Grande Prêtresse, elle n’était qu’une petite fille désireuse d’apprentissage et d’un amour qu’elle a reçu par les fidèles des temples mais qui était loin d’être celui qu’un père ou une mère aurait pu lui apporté - qu’elle s’est cependant bien contenté. Le Seraph de la Tempérance et ses fidèles lui ont apporté la pleine retenue de ses passions qui auraient pu l’aveugler malgré la religion. Toute son enfance et une partie de son adolescence s’est déroulée dans ce temple, et dès lors que Tempérance eut rempli sa tâche, la jeune fille était traînée de temples en temples afin d’embrasser chacune des vertus selon le bon vouloir des Seraphs. Qu’elle était une élève admirable, à seulement quatorze ans.
Un séjour prolongé auprès de Piété et Adoration, qui leur enseignèrent la ferveur religieuse et la foi. Courage et Force l’ont aidé à consolider les bases de sa personne que Tempérance avait forgé. Sensibilité, quant à lui adoucit ce mélange de prime abords bien aigre qui promettait un endoctrinement évident, en lui inculquant sa vertu. Charité elle aussi adoucit la personne qu’était Mavis. Justice lui apprit le discernement et la conception du bien et du mal ; ajoutant à son tour son épice à cette mélasse afin de faire d’elle quelque chose d’à la fois doux et relevé. Chacune des vertus l’aidèrent à devenir ce qu’elle était, et c’est la raison pour laquelle elle éprouve un respect incommensurable à l’égard de ces êtres supérieurs.
Malgré sa connaissance d’autres divinités ayant troqué leurs vertus pour des pêchés. Ce secret fut bien entendu gardé secret, du moins en attendant qu’il soit révélé de lui-même elle jouera la carte du mutisme.
16 ans. Assassinat de la Grande Prêtresse actuelle par ce Séraph sali.
Sans rien comprendre, elle prend sa place et ce titre honorifique glorifie son entité, et ce jusqu’à ce qu’elle périsse à son tour par la maladie ou la lame.
DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Anshu/Oubli AGE ▬ 18 ans TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬ Raph UN AUTRE COMPTE ▬ Aerith LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬Firekeeper - Dark Souls 3 TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Nan |